Quelques faits importants :
La
NED , la National Endowment for Democracy (NED) sous-traite la partie
légale des opérations illégales de la CIA.
Sans éveiller de
soupçons, elle a mis en place le plus vaste réseau de corruption du
monde, achetant syndicats ouvriers et patronaux, partis politiques de
gauche et de droite, pour qu’ils défendent les intérêts des
Etats-Unis au lieu de ceux de leurs membres.
Elle est à l’origine des révolutions colorées que l’on a vu fleurir partout dans le monde (qui ne sont en fait que des coups d’état déguisés pilotés et financés par la CIA).
L’ACILS, branche syndicale de la NED, est de très loin son principal canal. Il distribue plus de la moitié des dons de la Fondation.
Citer
Cette filière était dirigée par un personnage haut en couleurs, Irving Brown, de 1948 jusqu’à sa mort en 1989.
Il fut agent de l’OSS, le service de renseignement US durant la Seconde Guerre mondiale et participa à la création de la CIA et du réseau Gladio de l’OTAN. Il refusa d’en prendre la direction, préférant se concentrer sur sa spécialité, les syndicats. Il fut basé à Rome, puis à Paris, et non pas à Washington, de sorte qu’il eut une influence particulière sur la vie publique italienne et française. A la fin de sa vie, il se vantait ainsi de n’avoir cessé de diriger en sous-main le syndicat français Force Ouvrière, d’avoir tiré les ficelles du syndicat étudiant UNI (où militèrent Nicolas Sarkozy et ses ministres François Fillon, Xavier Darcos, Hervé Morin et Michèle Alliot-Marie, ainsi que le président de l’Assemblée nationale Bernard Accoyer et le président du groupe parlementaire majoritaire Jean-François Copé), et d’avoir personnellement formé à gauche des membres d’un groupuscule trotskiste dont Jean-Christophe Cambadelis et le futur Premier ministre Lionel Jospin.
http://www.voltairenet.org/article166549.html
Lionel
Jospin et Jean-Christophe Cambadélis , les
deux meilleurs élèves français d’Irving Brown, l’agent de
liaison de la CIA avec la gauche ouest-européenne , sont issus d’un
petit parti trotskiste (les « Lambertistes ») traditionnellement
lié à la CIA.
Avec une centaine de camarades, ils ont infiltré
le PS et ont réussi à pendre les rennes.
DSK a donné des
cours à l’université de stanford.
Aux États-Unis , Stanford est
le bastion des Républicains. C’est là qu’ils ont leur propre
centre de recherches, la Hoover Institution. À l’époque, le
prévôt de Stanford —c’est-à-dire la personne qui négocie
l’engagement de Dominique Strauss-Kahn— n’est autre que
Condoleezza Rice. Sur place, Dominique Strauss-Kahn
fait la connaissance de George P. Schultz et des universitaires qui
formeront le vivier de l’administration Bush.
Dominique Strauss-Kahn fréquente les cercles les plus prestigieux du pouvoir. Dès 1993, on le voit au Forum de Davos. Anne Sinclair l’introduit au Siècle, l’association la plus mondaine de Paris. Puis, Antoine et Simone Veil le font entrer au Club Vauban. En 2000, l’OTAN l’invite au Club de Bilderberg où il retrouve Pascal Lamy et Jean-Claude Trichet qui occupent avec lui aujourd’hui de prestigieux fauteuils dans les institutions internationales.
Citer
Ses démêlés avec la Justice l’écarteront un temps de la scène politique.
Opérant son grand retour, en 2001, après avoir bénéficié de non-lieux, il prend en mains le développement de la Fondation Jean-Jaurès, le partenaire de la National Endowment for Democracy (NED) pour la gauche française . La chose est d’autant plus aisée que, depuis Stanford, il connaît la nouvelle conseillère nationale de sécurité des États-Unis Condoleezza Rice, et que c’est la sœur adoptive de celle-ci, Mardeleine Albright qui dirige le National Democratic Institute (NDI), organisme tampon de la NED chargé d’acheminer les subsides du département d’État US dans les caisses du Parti socialiste français.
DSK est bien placé en 2007 pour être désigné candidat
à la présidence.
Tout semble réglé à l’avance. Les
cotisations d’adhésion au Parti socialiste ont été réduites à
un montant négligeable de sorte que les quelques milliers de membres
de parti lambertiste ont pu acquérir des cartes,
juste pour participer au vote de désignation interne du candidat. La
manœuvre a été organisée par le lieutenant de DSK,
Jean-Christophe Cambadelis, lui-même ancien
dirigeant de ce parti.
Pourtant, contre toute attente, c’est un
outsider, Ségolène Royal, qui est désigné. C’est qu’à
Washington on a un autre projet : placer Nicolas Sarkozy Quelques
faits importants :
La NED , la National Endowment for
Democracy (NED) sous-traite la partie légale des opérations
illégales de la CIA.
Sans éveiller de soupçons, elle a mis en
place le plus vaste réseau de corruption du monde, achetant
syndicats ouvriers et patronaux, partis politiques de gauche et de
droite, pour qu’ils défendent les intérêts des Etats-Unis au
lieu de ceux de leurs membres.
Elle est à l’origine des révolutions colorées que l’on a vu fleurir partout dans le monde (qui ne sont en fait que des coups d’état déguisés pilotés et financés par la CIA).
L’ACILS, branche syndicale de la NED, est de très loin son principal canal. Il distribue plus de la moitié des dons de la Fondation.
Citer
Cette filière était dirigée par un personnage haut en couleurs, Irving Brown, de 1948 jusqu’à sa mort en 1989.
Il fut agent de l’OSS, le service de renseignement US durant la Seconde Guerre mondiale et participa à la création de la CIA et du réseau Gladio de l’OTAN. Il refusa d’en prendre la direction, préférant se concentrer suQuelques faits importants :La NED , la National Endowment for Democracy (NED) sous-traite la partie légale des opérations illégales de la CIA.
Sans éveiller de soupçons, elle a mis en place le plus vaste réseau de corruption du monde, achetant syndicats ouvriers et patronaux, partis politiques de gauche et de droite, pour qu’ils défendent les intérêts des Etats-Unis au lieu de ceux de leurs membres.Elle est à l’origine des révolutions colorées que l’on a vu fleurir partout dans le monde (qui ne sont en fait que des coups d’état déguisés pilotés et financés par la CIA).
L’ACILS, branche syndicale de la NED, est de très loin son principal canal. Il distribue plus de la moitié des dons de la Fondation.
Citer
Cette filière était dirigée par un personnage haut en couleurs, Irving Brown, de 1948 jusqu’à sa mort en 1989.
Il fut agent de l’OSS, le service de renseignement US durant la Seconde Guerre mondiale et participa à la création de la CIA et du réseau Gladio de l’OTAN. Il refusa d’en prendre la direction, préférant se concentrer sur sa spécialité, les syndicats. Il fut basé à Rome, puis à Paris, et non pas à Washington, de sorte qu’il eut une influence particulière sur la vie publique italienne et française. A la fin de sa vie, il se vantait ainsi de n’avoir cessé de diriger en sous-main le syndicat français Force Ouvrière, d’avoir tiré les ficelles du syndicat étudiant UNI (où militèrent Nicolas Sarkozy et ses ministres François Fillon, Xavier Darcos, Hervé Morin et Michèle Alliot-Marie, ainsi que le président de l’Assemblée nationale Bernard Accoyer et le président du groupe parlementaire majoritaire Jean-François Copé), et d’avoir personnellement formé à gauche des membres d’un groupuscule trotskiste dont Jean-Christophe Cambadelis et le futur Premier ministre Lionel Jospin.
http://www.voltairenet.org/article166549.html
Lionel
Jospin et Jean-Christophe Cambadélis , les
deux meilleurs élèves français d’Irving Brown, l’agent de
liaison de la CIA avec la gauche ouest-européenne , sont issus d’un
petit parti trotskiste (les « Lambertistes ») traditionnellement
lié à la CIA.
Avec une centaine de camarades, ils ont infiltré
le PS et ont réussi à pendre les rennes.
DSK a donné des
cours à l’université de stanford.
Aux États-Unis , Stanford est
le bastion des Républicains. C’est là qu’ils ont leur propre
centre de recherches, la Hoover Institution. À l’époque, le
prévôt de Stanford —c’est-à-dire la personne qui négocie
l’engagement de Dominique Strauss-Kahn— n’est autre que
Condoleezza Rice. Sur place, Dominique Strauss-Kahn
fait la connaissance de George P. Schultz et des universitaires qui
formeront le vivier de l’administration Bush.
Dominique Strauss-Kahn fréquente les cercles les plus prestigieux du pouvoir. Dès 1993, on le voit au Forum de Davos. Anne Sinclair l’introduit au Siècle, l’association la plus mondaine de Paris. Puis, Antoine et Simone Veil le font entrer au Club Vauban. En 2000, l’OTAN l’invite au Club de Bilderberg où il retrouve Pascal Lamy et Jean-Claude Trichet qui occupent avec lui aujourd’hui de prestigieux fauteuils dans les institutions internationales.
Citer
Ses démêlés avec la Justice l’écarteront un temps de la scène politique.
Opérant son grand retour, en 2001, après avoir bénéficié de non-lieux, il prend en mains le développement de la Fondation Jean-Jaurès, le partenaire de la National Endowment for Democracy (NED) pour la gauche française . La chose est d’autant plus aisée que, depuis Stanford, il connaît la nouvelle conseillère nationale de sécurité des États-Unis Condoleezza Rice, et que c’est la sœur adoptive de celle-ci, Mardeleine Albright qui dirige le National Democratic Institute (NDI), organisme tampon de la NED chargé d’acheminer les subsides du département d’État US dans les caisses du Parti socialiste français.
06/10 15:52 - garfield13
abominable pour vous plus rassurant que le candidat du PS pour 51,3% de la population (...)
06/10 15:49 - garfield13
je ne peux nier que je doute d’une forte mobilisation. Mais y a t’il tant de gens (...)
06/10 15:46 - garfield13
Là ça me fait grave peur. J’avais pas lu l’obligation de répondre à des messages (...)
06/10 15:43 - garfield13
tout à fait d’accord. Je pense qu’il tient sa place de leader parce qu’il est (...)
06/10 15:42 - garfield13
Si vous le souhaitez, je peux prouver par les mêmes liens à 2 rebonds que ma grand mère a pris (...)
06/10 15:36 - garfield13
Je pense que l’auteur de cet article n’a aucun recul vis à vis de l’actualité (...)
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