Bonjour,
Votre ésprit ne peut concevoir quelque chose d’autre que le fait « établit ».
Le bonheur ne se trouve pas dans le travail mais dans l’occupation et l’utilité,
pour sois même et pour autrui.
Ce qui n’est pas forcément synonyme de travail au sens ou vous l’entendez.
Quand je m’occupe de mes grands parents, je travail.(solidarité)
Quand je renove ma maison en ruine, je travail.(valeur ajoutée)
Quand je fait mon potager et que je donne une partie de ma production aux voisins je travail.(partage)
etc etc etc....
Ce n’est pas un problème de « travail », c’est un problème de valeurs de nos sociétés.
Que vous le vouliez ou non, la technologie effectivement raréfie le « travail ».
Les gens que je croisent et qui travaillent pour la plupart n’aime pas ce qu’ils font.
Même si encore beaucoup disent le contraire à leurs voisins (car c’est socialement encore la norme dominante), dans l’intimité il en va bien autrement...
Pourquoi ? parce ce qu’ils ne sont pas créatifs,
cantonnés pour la très grande majorité à des rôles « idiots » dans un systeme qui se marche sur la tête à tous les niveaux et n’à aucun avenir perenne à très long terme.
Quand un ebeniste travaillait ses meubles, il pouvait être fiert de sont travail.
Il le vendait à son juste prix, il en garantissait la qualité et donc était respecté pour çà
ou affrontait l’opprobe.
Rien à voir avec le travail d’aujourd’hui, vite fait, basse qualité, délocalisé,
mal rémunéré, et dans l’indifference générale.
Ce qui fait perdurer ce systeme ce sont les guerres et l’olligarchie qui les provoque et les « finances » par notre endettement, ainsi que la compétition organisée par le libre échange total
et sauvage.
Dans un systeme finit (la terre), vouloir toujours plus de materiel est une abération.
A quoi ressemblera notre vie et la terre quand la planète entière vivra à l’américaine ?
Avec seulement 20% vivant a peu près à l’américaine nous en constatons déjà les ravages.
Il est grand temps que les pays développés passent à une économie post moderne.
Ce qui signifie une consommation en baisse et des idées et des recherches positives en hausse.