Entièrement d’accord avec cet Article, quelle que soit la façon d’utiliser l’animal à fin de le manger est une atteinte a son droit de vivre, qu’il soit d’élevage ou sauvage, de plus, l’être humain n’a été omnivore, voire carnivore que pour survivre et les études anthropologiques ont clairement démontré les maladies qui en étaient les conséquences directes, alors dire que l’homme moderne est un omnivore et qu’il doit manger de la viande est une absurdité, prière d’aller étudier son anatomie et sa physiologie..En raccourci, son organisme ne s’est toujours pas adapté à l’ingestion de la chair, à son métabolisme et catabolisme.
Son organisme ne la reconnait pas ; pour ceux à qui ces propos paraissent difficiles à comprendre est-t’il besoin de faire remarquer que tout animal est adapté à son environnement et principalement à la nourriture dont son espèce à besoin pour vivre et se reproduire.
Demeurer à l’écart des dépendances est relativement facile quand celles-ci ne nous ont pas été inoculées dès notre plus jeune âge.
Or, un carnivore l’est depuis longtemps, souvent depuis la naissance.
Difficile de sortir d’ une éducation de préjugés (et) ou culturelle ’alimentation en faisant partie..
L’animal ressent la souffrance . Sentiments et d’émotions, existent tout comme l’être humain. seules leurs manifestations diffèrent.
Une autre différence se situe au niveau du cerveau de l’Humain qui est un peu mieux organisé, capable d’abstraction et de projection mais ça s’arrête la.
Entre l’instinct et la sensation, il y a seulement une différence de langage. ;
Aimer n’est certainement pas une exclusivité humaine.
Et comme c’est dit dans l’article, si l’approche de la mort stress l’animal à son paroxysme les conditions d’élevage elles même.sont inadaptées ou intolérables voire sont même de véritables tortures nuit et jour..
Quand je pense qu’on nous bassine avec des lois minimalistes sur le bien-être animal on est encore très loin du compte, et comme il y a fort à parier que les droits des animaux ne verront jamais le jour, c’est l’élevage dans sa totalité qui doit être supprimé.
Pour ceux qui font des études pour devenir (je ne sais plus comment les appeler) agriculteurs, éleveurs, techniciens de la campagne et de la Terre, il est possible de choisir la filière dite « bio » naturelle, en évacuant l’élevage alimentaire.si ce n’est pas possible il faut pouvoir l’exiger. Le rôle des députés européens écologistes non ?
L’élevage des animaux est également un gaspillage écologique, en plus d’une quantité de
souffrance exorbitante infligée à l’animal. En effet, chaque kilo de viande produit l’a été avec
au minimum 20 fois son poids en végétal (dont 7 à 16 kg de soja ou de maïs) 2, 10 fois en
moyenne son équivalent en protéines végétales, 7 fois en moyenne l’espace agricole utile.
Plus simplement : « On prend le grain des pauvres pour nourrir la vache du riche ».
Quant à ceux qui usent et mésusent du « cri de la carotte », Il y a un bon moyen de réduire l’hypothétique souffrance des plantes c’est de les manger directement, plutôt qu’en les donnant à manger en quantités décuplées. à du bétail. ou transformées, additionnées de quelque formule chimique et conditionnées sous forme de granulés dont la composition reste secrète, (on voudrait bien savoir pourquoi n’est-ce pas...) alors pensez que vous devenez ces granulés, et que vos chairs récupèrent en plus des toxines de la viande elle-même, les saloperies contenues dans l’alimentation animale..
On peut ajouter quelques chiffres édifiants qui prouvent un gaspillage non négociable :
- Environ 100L d’eau sont nécessaires pour produire 1kg de végétal alors qu’environ 2000 à
3000L d’eau sont nécessaires pour produire 1kg de viande
- Aux états-unis, 80% des cultures sont destinées à la nourriture des animaux et 90% du soja mondial est destiné à l’alimentation des animaux
Cela illustre que le végétarisme peut également s’appuyer sur des raisons écologiques ou même paradoxalement sur la défense des végétaux.
Nous nous justifions et plaignons que ce monde est cruel, mais nous nous autorisons
aussitôt à y participer dans des proportions beaucoup plus importantes.
Nous surenchérissons dans la cruauté. à croire que, si elle n’existait pas, nous l’invente-rions ; nous le constatons en tant de guerre et même au quotidien, dans nos rapports aux autres principalement vis-à-vis des plus faibles, et de plus en plus à l’abri derière un écran, cependant en tant qu’êtres humains conscients et intelligents nous devrions la combattre qu’elle qu’en soient ses manifestations.
Tuer en étant conscient de faire souffrir est une déviance qui n’a aucune d’excuse.
À la différence des animaux obligés de vivre selon les règles de leur espèce, l’homme est capable de faire pousser des plantes pour s’en nourrir
De plus, l’homme est conscient de faire souffrir, ce qui est pire que de tuer sans le savoir ; il n’a donc guère d’excuse ; il n’est pas obligé de tuer. surtout que rien ne manque dans nos société pour une alimentation propre et indemne de souffrance, car n’oublions jamais que nous devenons ce que nous mangeons.
L’homme préhistoirique et l’homme dit « civilisé » aujourd’hui polissé en surface, n’ont en réalité qu’une seule différence qui se situe au niveau du confort, mais sa mentalité est restée la même voire pire via ce confort. et le superflu à tout prix, de préférence facile.
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L’exercice d’insensibilisation à la douleur d’autrui commence dès l’enfance.
Pour l’enfant, il est incompréhensible de manger et d’aimer l’animal, logique naturelle et ineffable. Mais comment un petit enfant peut-t’il savoir que le steak ou le jambon qui accompagnent sa purée OGM est un animal ? et on ne s’avoue pas pourquoi on ne le lui dira pas .
La société empêche ainsi les réflexes altruistes naturels qui la déstabiliseraient .
Or, à cet âge, on ne peut juger nous sommes sans défense et nous adoptons et acceptons les comportements les plus proches..