Bonsoir Monsieur Vassé,

C’est pas possible ! La fine équipe a encore frappé et pourtant cette fois-ci, ce n’était pas des douaniers bornés à CDG. Les exploits de ces « joueurs » (notion toute relative au vu des sommes en question) sont en train d’entamer le record pas encore financier mais bien celui de la stupidité quadri-dimentionnelle. Comment, après pourtant des études de haut niveau, les crânes d’oeufs et auxiliaires des basses oeuvres (et manoeuvres) de quelques hommes politiques professionnels, ont ils crû pouvoir berner les Taiwanais ? D’authentiques Jérôme Kerviel de superrette incapables de monter un dossier solide même dans le sordide. Avec des bras cassés pareils, inutile de se raconter des histoires ; ça ne peut que ramer.

 Allons aux résultats, voir les scores obtenus. En terme d’image de marque, changeons le vocabulaire et parlons à présent de démarque. Entre un ex-futur président potentiel, plus proche du singe que l’homme des cavernes qui s’est avéré être un menteur (sans évoquer son casier judiciaire) , un président en exercice qui semble ignorer les vagues déferlantes des affaires Karachi, Tapie, Servier : on peut hésiter entre inconsistance et incompétence devant de tels produits de marketing. Des rapporteurs de commissions d’enquêtes sénatoriales dont on apprend qu’ils ont été très aidés pour rédiger un rapport évacuant les responsabilités d’un laboratoire théodule relèvent d’institution pas vermoulues mais presque. Cerise sur le gateau, un commissaire de police emblématique qui dans les faits, naviguait en eaux plus que troubles, en faisant non pas la passerelle mais le pont autoroutier avec le grand banditisme ; achève de consacré l’hexagone en république bananière de l’année. Même en matière industriel, pourtant le point fort du pays, on verse dans le burlesque avec une intervention pathétique d’Areva and Co, au Japon à Fukushima. En France même, on apprend avec stupéfaction que la construction de l’EPR a été fait avec un béton façon crêpe dentelle. Il n’y a pas que les chapeaux bretons qui sont ronds dans ce pays.

Même un maire d’un obscur plouc-land, s’intronise trader de pacotille, Kerviel rural et se fait taper sur les doigts (pour ne pas dire botter les fesses) par une.....taiwannaise. Le pays des doigts dans l’homme mis à l’index ; une vraie pièce de théâtre de boulevard. Les spectateurs sont les autres pays du monde. Combien de point de croissance, ces pitreries auront elles coutés à la France et par extension, aux français ? Allons, allons, ne voyons pas tout en gris.

Demain est un autre jour. Qu’est ce que l’on va encore apprendre comme exploit maboule réalisé ? Ah oui, les débats passionnants entre Flamby et Martine Débris. Formidable !

Et que nous apprenez vous ? Après les frégates, les mirages !

 Arrêtez Maestro, c’est trop !

ps : encore merci pour les coordonnées des cours de chinois.