Il me semble logique que l’on ne dénonce pas le fait que dans une école non-publique, donc soumis une organisation réligieuse, des signes et règles de leur foi apparaissent (crucifix, le Torah, la croix de David, la Bible, règles morales etc...).
La liberté réligieuse leur donne ce droit et c’est bien, les parents ont donc le choix d’envoyer leurs enfants dans des écoles publics (laic), catholiques, protestants, juives etc...
S’ils n’adhèrent pas aux règles de ces établissements, les parents, élèves ou enseignants peuvent donc voir ailleurs.
Je trouve donc normal que ce « Monseigneur » comme vous le décrivez utilise ses normes et les défends. (D’autres le font aussi, le juif défends ses traditions, le musulman ses traditions alimentaires, le croyant défends ses convictions et le laïc défends les siennes)
Personne n’est obligé de s’y soumettre, il suffit d’aller ailleurs, ou d’autres normes et valeurs existent.
Le contraire serait ne plus laisser la liberté de conscience et de convictions aux citoyens de l’état, de laminer et égaliser tout, se serait une autre dictature.
Ceci a été testé dans certains pays, sans résultat définitif, la pluralité des convictions est un fait.