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Commentaire de Catherine Segurane

sur 17 octobre 1961 : quand la propagande fabrique un « crime d'Etat »


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Catherine Segurane Catherine Segurane 18 octobre 2011 20:53

C’est vous qui en êtes réduite à tout mélanger faute d’arguments qui tiennent debout.


Qu’est-ce que les fours crématoires viennent faire à Paris en 1961 ?

A cette époque, un mort de mort violente arrive à la morgue.

S’il est découvert avec retard, il arrive à la mort avec retard, mais il y arrive quand même.

Seules exceptions :

1 les morts qui, par hasard, ne seraient pas découverts (il y en a sans doute, mais pas plus de quelques uns)

2 les cadavres volontairement dissimulés ; thème chéri de Einaudi et compagnie.

Mais il n’existe aucun moyen, en région parisienne, de dissimuler des cadavres par dix et par cent.

Bon, après qu’un mort de mort violente est arrivé à la morgue, reste à savoir qui est le coupable, et là, c’est tout un autre chapitre qui s’ouvre. Mais il n’y a aucune raison de présumer que tout Algérien mort de mort violente a été tué par la police.

En tous cas désolée mais, pour Paris et proche banlieue, le 17 octobre et les jours juste suivants, le nombre d’Algériens morts de morts violente est de six (en y ajoutant M. Chevallier, Français mais tué à Paris le 17 octobre), on arrive à sept.


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