Ce que le
Professeur Bandajevski met en avant, c’est plutôt l’action du Césium 137 qu’il accuse
de provoquer des problèmes cardiovasculaire. L’Iode 131 de Tchernobyl
a disparu depuis bien longtemps.
Le Césium137
absorbé reste fixé dans le corps
humain, principalement dans les muscles, pendant une à deux semaines… Les
travaux de ce Professeur, cité de
manière privilégiée par vos camarades, comme s’il était le seul à travailler
sur les effets biologiques des rayonnements ne sont pas étayés par des articles
et publications scientifiques reconnus.
Vous
reproduisez le discours formaté habituel..
Je
dépose des commentaires ici sans aucune illusion sur plus de 80% des personnes,
un petit cercle idéologique., pour deux raisons :
1) j’ai, pour l’instant, un certain respect pour
ce site Agoravox, donc la voix
justement rencontre un écho assez large…
2) la
situation de la France est grave. Nous souffrons d’une très grave
désindustrialisation. Les industries qui s’en vont ne reviendront jamais. Un de
nos derniers secteurs clés est constitué par le domaine du nucléaire civil. Sa
réussite est indéniable et ce n’est pas un hasard si le niveau des accidents
nucléaire chez nous reste inférieur ou égal à 2. [Sur le plan de la sûreté, arrêter les EPR plus modernes et plus sûrs, pour
prolonger la vie de réacteurs vieillissants est d’une absurdité insensée]
Il y a
de fait en France un moratoire qui
dure depuis 20 ans (Civaux 1991). L’arrêt de Super
Phénix, une technique unanimement reconnue aujourd’hui comme celle de l’avenir a déjà porté un
coup grave à notre recherche et à notre position dans le monde sur ce domaine
de l’énergie qui est en expansion, parce qu’il est incontournable [voir
discours récent de Ban Ki Moon,
prévisions de l’AIEA et de l’AIE …]. Les Russes avec BN600 nous sont passés devant …
Un
nouveau coup porté à notre potentiel sera mortel. Le monde ne nous attend pas.
JMB