Ce qui apparaît à la fois à la lecture du manifeste du parti communiste et de votre article c’est la nécessité de redéfinir le tissu social de nos sociétés.
Tout simplement parceque l’argent, n’est pas une valeur vertueuse du fait de son intérêt et qu’il s’avére être un frein à l’humanité, tel que l’illustre les situations de monopole ou encore de prohibition...
Le communisme à échoué selon-moi car il à préféré mettre en avant l’industrie lourde et militaire alors que si son objectif avait été plus consumériste il aurait été le pourfendeur idéal du capitalisme.
Aujourd’hui nos démocraties capitalistes surendetté ne doivent leurs salut qu’aux racquet de leurs propres populations, comme l’illustre le cas de la grèce. Si l’état à besoin de sa population pour survivre, ma question est la suivante : la population a t-elle besoin d’un état pour survivre ? Par la force des choses, une population ne semble pouvoir aujourd’hui se passer d’êtat. Elle serait une proie pour les autres états qui n’aurait aucune pitié a prendre les richesses du sol qui s’offrent à elle.
Et l’anarcho-communisme ? Là ça deviens intéressant, mais applicable qu’avec une refonte totale de nos sociétés : dans un premier temps juridiquement et économiquement. Car l’anarchisme peut se passer d’un état, mais une société ne peut se passer de justice. Enfin pour éviter que l’anarchisme ne soit qu’une forme encore plus brutale du capitalisme intervient la notion de communisme, une nation se doit d’être communiste pour être sûre d’assurer un développement harmonieux à son peuple. Coopératives d’états> utilisations des bénéfices des dites coopératives dans le secteur boursier> puis redistribution de la richesse à l’ensemble du prolétariat et aux projets créateurs d’emplois et le cercle vertueux sera alors amorcé. Enfin la cohabitation entre secteur public communiste, et secteur privé capitaliste est possible, toutefois le secteur privé aura forçément vocation à disparaitre ou du moins à se délocaliser.
Un état qui travaille avec et pour nous, c’est ça selon -moi : l’avenir.
Après je suis bien conscient d’éluder de nombreuses problématiques dans mon commentaire ; toutefois je suis preneur de toute critique concernant ma pensée.