Ce qui « portait » les enseignants autrefois venait qu’ils comptaient parmi les plus instruits transmetteurs de savoir, les meilleurs s’arrangeant pour que les enfants ne soient pas passifs.Ils étaient reconnus, respectés.
Aujourd’hui, des officines qui préparent la privatisation de l’Ecole sapent cette conquête républicaine. SOS Education se distingue, en officine d’extrême droite. Parents et élèves se laissent formater.
Voir « SOS Education, Naufrageurs bas les masques »
http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=203
Par ailleurs, les enseignants travaillent rarement en équipe, ils sont
donc seuls, surtout dans le second degré. Et ce n’est pas la formation
universitaire des défunts IUFM qui pouvait les aider à comprendre le
terrain...et l’équipe. Maintenant ils n’ont plus de formation du tout, le mépris est total.
La baisse lente de qualité est le moyen de privatiser, car le malheur pour le pouvoir actuel est que les Français aiment encore leur école ’SOS éducation s’occupe de ce problème).
La baisse de qualité est voulue par l’OCDE, la France applique :
Voir « OCDE, vade mecum de la privatisation rampante : »
http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=202
Alors rêvons à un meilleur lycée, qui conditionnera les comportements pour y entrer :
« Pédagogie et méthodes actives... »
http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=198
On ne peut pas laisser des travailleurs enseignants dans un système que l’on pourrit volontairement. Il leur appartient de s’organiser en équipes, leur combat utile est la réussite pédagogique, pas des arrêts de travail qui ajoutent à la chienlit scolaire qui se referme ensuite sur eux.