« L’usine à gaz
ministérielle » de ce logiciel de vote était un dispositif
non seulement anti-démocratique par définition du vote
électronique, mais mal conçu exprès pour empêcher au maximum les
électeurs de voter : difficulté d’accès et erreurs, lenteur
extrême, refus des systèmes d’exploitation non tributaires de la
maison Bill Gates (ce qui signifie que le ministère est vendu aux
américains,mais on le savait déjà).
Je vous conseille de
lire une opinion voisine ici :
http://leblogdelapresidente.over-blog.com/
Ce
qu’écrit la présidente, c’est le reflet de la vraie vie de terrain
des salles de professeurs, où les collègues depuis belle lurette ne
viennent plus aux assemblées de personnels, quels que soient ceux
qui les convoquent.
Ils ne viennent plus à
des manifestations que les directions syndicales détournent, ne
votent plus pour des directions dont ils connaissent les trahisons,
et savent que ce n’est pas seulement contre l’actuel gouvernement
qu’il faut se battre : ce que dit mon camarade Jean-François
Chalot ne suffit pas.
A cet égard je
rejoins tout à fait le blog de la présidente : les enseignants
n’en sont pas encore à descendre dans la rue pour brûler des pneus,
mais on n’en est pas loin.