j’ai eu peur un instant que tu me parles d’internationalisme :
- « il nous faut répandre l’amour sur terre, c’est ça l’humanisme, il est forcément internationaliste »
et je me voyais déjà te répondre que l’internationalisme est lui même d’une certaine forme contraire a l’humanisme prodigué par l’internationalisme, puisqu’il vise a « corrompre / biaisé » les sociétés extérieures pour les rendre comme la notre (ce qui d’une certaine manière nous protège de l’invasion extérieure), et ainsi nous ingérer dans l’auto-détermination des peuples, porté par ce même humanisme.

mais non, nous sommes bien d’accord sur le mythe de l’union idyllique consentie a l’église (mariage du peuple quoi) devant dieu (la Constitution). la France comme toute nation a une fondation idéaliste, une illusion d’union, parfois une nécessité d’union (temporaire) mais dont les divisions sont restés en l’état et perdure.
le problème est qu’il n’existe plus de conscience de classe, mais aussi de définition de classe (franchement vue la considération de marx pour les paysans... peu mieux faire).

c’est là peut être la limite des partis politiques, accepté la limite, accepté la division, accepté de perdre « la grandeur de la France, l’indivisibilité de sa République et l’unité de son territoire », accepté que nous devons faire sécession et assumer les conséquences d’un tel choix (perte de puissance militaire, économique, diplomatique, possible prédation de l’extérieur > renforcement militaire pour assuré son indépendance... bref que des choses qu’il vaut mieux cacher sous le tapis)

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et le pauvre auteur qui nous voit dogmatiser d’arnacho-communisme alors qu’il ne voulais que pester contre la perte de sa liberté individuelle imprescriptible et capricieuse de ne pas se voir doté d’un compteurs mouchards big-browser (brother je sais)