@ tangoche
faut se calmer mon vieux, et éviter la posture du donneur de leçons, en mélangeant tout.
On parle, là, de l’évolution du cinéma hollywoodien, depuis l’apparition des nouvelles technologies (images de synthèse, capture motion, notamment) , et de sa grosse artillerie de blockbusters aux produits dérivés.
On ne remonte pas aux calendes grecques.
Quant aux réalisateurs « prometteurs » dont vous parlez, citez moi un seul grand film, parce que,n personnellement, je n’en connais pas...
Que les indépendants aient été « récupérés » par des majors n’empêche pas que ce n’est pas à la machinerie hollywoodienne qu’ils ont pu réaliser leurs premiers films.
Symptomatique, d’ailleurs, que dans votre argumentaire, vous utilisiez tous les termes marketing : cahier des charges, public ciblé, rentabilité à terme....
Dans le style « manque de nuance », vous n’avez rien à envier à personne.
Quant à la « base culturelle limitée » ou la « pensée unique », cultivez votre jardin, au lieu de classifier dogmatiquement avec les poncifs de la novlangue en vogue...
Vous connaissez sans doute beaucoup de choses, mais vous en faites des confusions et des amalgames, qui n’aident pas votre analyse.
Parmi toute la liste de ceux que vous citez, que de différences et de nuances qui, manifestement, vous échappent..
Assimiler Chaplin et Hitchcock à Hollywood, il faut le faire....
Et pour ce qui est de Spielberg, je re-persiste et signe ; à part de peu nombreux films exempts de ses objectifs commerciaux, il a réalisé une série de navets lourdingues qui a peu d’équivalent dans le cinéma contemporain ; c’est mon avis, et je le partage.
En l’occurrence, il est ici question de son dernier nanar de synthèse qui trahit totalement l’esprit de Tintin, mais qui correspond parfaitement au marketing dont il est le sujet et l’objet.
Bah ; question de cahier de charges, de public ciblé, et de rentabilité à terme obligent...