Grecs : Le choix ? Oui ...
de la corde. (Ou : Le jeu du pendu)
Je suis ulcéré
d’entendre les discours et commentaires des dirigeants de l’Union Européenne et
en premier la France et l’Allemagne.
Si nous les
écoutons, en dehors des discours de façade, on se rend compte qu’aucun ne pense
aux grecs mais uniquement à leurs intérêts.
Les grecs ? Ils s’en
foutent.
La preuve :
- Il veulent faire
annuler le projet de référendum.
- Si il n’y arrive
pas le duo France-Allemagne veut dicter la question.
- Que la réponse
soit oui ou non, quelque soit la question, le seul résultat sera uniquement que
les grecs auront choisi la corde et la main qui les asphyxiera !
En conclusion d’un
coté ce sera la corde du partie de Droite qui les a mis dans ce merdier de
l’autre ce sera la France et surtout l’Allemagne qui a annoncé, grosse erreur,
sa mise sous tutelle.
Transposons nous à
la place des grecs.
Peut on imaginez que
les Français, pas nos gouvernants, puisse accepter la mise sous-tutelle de fait
par l’Allemagne.
Ne riez pas, sous le
pseudo d’Union Européenne, c’est peu ou prou ce que l’Allemagne, avec la
pré-correction de nos budgets et une pénalisation des dérapages budgétaires, ce
qui se passe de façon masquée.
La question n’est
pas ici de savoir si on est pour ou contre le fédéralisme, pour ou contre la
mise sous tutelle des grecs, la seule question qui prévaut pour les grecs comme
pour tout pays, est que les peuples donnent leur approbation à priori et non à postériori
comme souvent.
Drôle de façon de
pratiquer la démocratie et la liberté de choix des peuples. Ce ne sont devenue
que des caricatures. La plus belle démonstration est que le seul argument qui
est opposé aux demandes qu’ils ne veulent
pas est de dire c’est dans les lois, les traités mais dés que cela les
arrangent ils passent outre (quitte à additionner les amendes de Bruxelles) ou
changent ces mêmes textes à leurs convenances.
Encore une preuve ?
Les rachats de
dettes des pays par la B.C.E. !
Une interdiction
inscrite dans le « marbre » de la constitution européenne.
:->