A sisyphe, vous êtes décidément « ailleurs » Où dans le monde et dans l’histoire avez vous vu que les crises fassent autre chose que paupériser les plus pauvre, laminer les classes moyennes et enrichir les plus riches ?
Ca, tout le monde le sait.
D’où l’intérêt d’éviter ces crises ; entièrement provoquées par les milieux financiers, dans un système libéral totalement dérégulé.
D’où l’inévitable changement de système, entre autres, par une réforme monétaire, qui redonne son rôle aux Banques centrales, prêtant aux états selon leurs besoins SANS INTERET, l’interdiction faite aux banques et organismes financiers de créer de l’argent, de fonctionner en fonds propres, et d’emprunter, si elles le désirent, aux banques centrales, AVEC INTERETS ; c’est à dire’ de changer ce système mortifère qui, de crise en crise, conduit des milliards de gens dans la pauvreté, la misère, au profit d’une caste de ploutocrates qui planquent leurs formidables magots dans les paradis fiscaux.
D’où l’intérêt, pour sortir de ce système mortifère, de donner la parole aux peuples, pour recouvrer leur souveraineté monétaire, économique, financière.
Le système que vous continuez de défendre, comme s’il n’en existait pas d’autre, prouve, chaque jour, ses effets délétères, mais vous continuez tête baissée, comme ; soit un imbécile, soit un collabo des exploiteurs, parce que vous y trouvez votre propre compte. Dans les deux cas, vous êtes un complice de l’oppression, de l’exploitation, de l’asservissement des peuples : un nuisible, à qui il faut ôter la capacité de nuire.
D’autant que j’aimerais que vous m’expliquiez, dans votre logique, comment un pays soumis à des plans d’austérité de plus en plus drastiques, peut produire une croissance qui lui permette de rembourser ses dettes ; chiche ...
Cela, tous les gens un minimum avisés, informés, le savent ; il y a, tous les jours, sur le net, des articles, des analyses, des témoignages, pour le démontrer, et démonter l’absolue nécessité d’un changement du système global.
Vous continuez de feindre de l’ignorer ; vous êtes donc un imbécile nuisible, que tous les hommes honnêtes et soucieux de justice espèrent que la voix des peuples empêchera enfin de nuire.
Allez, de l’air...