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Commentaire de cylindredecyrus

sur Charlie Hebdo, comment instrumentaliser le prophète ?


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cylindredecyrus cylindredecyrus 8 novembre 2011 17:28

Je sais de quoi je parle, je suis moi même un Gascon « monté » à Paris (Villejuif pour les intimes). Et je puis affirmer que d’esprit, de cœur, de corps et d’âme, de trempe, de tempérament, de complexion et de race, un Gascon est à Merde/Seine, beaucoup plus étranger, beaucoup plus séparé, mille fois plus exilé, qu’un arabe, un turc, un libanais, ou... Dieu sait laquelle de cette sémillante sémitaille séminale qui dégouline en se congratulant sur « les Champs » ; voire un Chinois. 
Pour ne rien dire de ceux dont on ne doit rien dire qui ne fut d’encensoir, excellences qui sont excellemment en France comme autant de poussahs en un gynécée, de Strauss-Khul dans un Sofitel. 

§. Oublions, une fois n’est pas coutume, l’infecte bourgeoisie, focalisons sur la populace. Nulle part au monde, n’existe un ramas de vilains plus vilain qu’à Merde/Seine. Les blancs y ont tous la gueule de Delanoë. Le prolo parigot (d’avant le regroupement), est cette gouailleuse gouape à casquette-clope au bec - poches déformées par le journal. Parce que c’était le prolo du journal, le prolo à opinions sur rue, si bien décrit par Péguy, dont le socialisme est un socialisme de journaliste, d’abruti par le journaliste, un socialisme de grande gueule, d’opinion, de branleur. L’insurgé de 45, celui qui n’a jamais fait la révolution, parce qu’il en est incapable, trop ensuifé, trop ratiocineur, trop intello-jouisseur suçant les mamelles du stalinisme. 

§. De toute manière la France est devenue un habit bien trop grand pour les français actuels, d’où leur empressement unanime à se vêtir du prêt-à-porter que l’on vend en solde rue du Sentier politique, artistique et littéraire. À rétrécir leurs coutures aux mesures du tailleur du Jourdain. 
Un torchon anarchisant, antigaulliste et pornographique comme Hara Kiri, puis Charlie hebdo, ne pouvait que faire fortune. Mais cet anarchisme n’est jamais que celui, débridé, de la bonde : l’organe de la canaille pas fraîche, et qui s’assume, et qui veut jouir, et qui montre ses dessous douteux. Si les parigots décomposés, les lecteurs de C.H, ont des têtes culières c’est qu’ils ont des obsessions de rectum, des pensées en lavement. 
Tout, ici, respire le bran. 
Et je ne parlerai pas, par charité chrétienne, de sa femelle, la parisienne, cette abjection. Parce que c’est ça le Parigot : le type qui ricane devant une anglaise, et qui révère son laideron bas du cul et court sur pattes (et qui fume !).

 Suite et fin


§. Bientôt je redescendrais en mes Limbes, près de la dune, au bord de l’océan, pour ne pas crever comme un chien, ici, livré aux mains des vétérinaires vétérotestamentaires. 
Prière : 
O Dieu miséricordieux, ne me laissez pas mourir comme un sous-chien errant en cette terre d’Infrance ;
Accordez à mes vieux os le sol de la terre d’enfance. 
félix lechat

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