Ouf ! Du silence : les chiennes ont cessé d’aboyer et la caravane peut passer !
Car, en plus, elles ne savent pas lire, évidemment.
Pourtant, R Gac dit : (et ceci ne diminue en rien la gravité du problème des femmes et des hommes violés)et il étend même la problématique aux hommes : En effet, on oublie trop souvent que le viol n’est pas un crime dont
les victimes seraient exclusivement les femmes. Les hommes violés
collectivement ou individuellement dans les back-rooms des bars gays,
dans les prisons, dans les casernes (qui peut oublier les atrocités
commises par les femmes militaires de la US Army dans les camps de
concentration iraquiens ?), dans les internats (catholiques ou pas), au
cours des bizutages, etc., sont aussi tristement nombreux.
Et il prend même la peine de préciser qu’évidemment, la force ou le pouvoir sont bien sûr capables de desserrer ces foutus adducteurs !!
Merci à vous, Roberto Gac, de nous avoir amusés intelligemment et surtout de nous élever un peu au-dessus de cet air nauséabond qui stagne sur la France d’aujourd’hui.
Bien à vous.