L’homme un espèce supérieure et, bien en voila une drôle d’idée remplie de non sens. L’homme dans son état actuel est juste un maillon de l’évolution (à l’échelle géologique) qui est loin d’être achevée... Comment évoluerons nous, nul ne peut le dire à ce jour, de plus la transmission de notre patrimoine génétique est largement corrompu par les initiatives médicales et scientifiques qui affaiblissent le potentiel d’adaptation de tout être vivant à son environnement, si ce ne sont pas les guerres qui auront raison de nous la science finira le travail, mais je crois que j’aborde un sujet qui s’égare de l’article....
J’étudie les (évolution, facteur limitant, adaptation des espèces) écosystèmes forestier du domaine continental tout au long de l’année et le constat est le suivant : les populations de grand gibier (chevreuil, cerf, sanglier) représente à ce jour un réel problème qui concerne directement l’équilibre des milieux naturels ou non (forêts, exploitations, prairies, etc...) faute à une gestion cynégétique sérieuse inexistante en partie due aux faveurs accordés à la chasse pas toujours très raisonnable et peu portée sur la gestion des ressources naturelles. Ceci reste une distraction pour les uns et mise en valeur de leur égo pour d’autres (les chasseurs sont trops souvent étrangers à la région !) et c’est dommage car beaucoup de locaux voudrait ce réapproprié la possibilité de chasser (trop chère pour eux) intelligemment et participer activement à une dynamique de gestion seine et respectueuse des milieux naturels...
Petit tabou que je voudrais enfin lever et cela plus pour des raisons plus écologiques que sentimentales, nous devons soutenir la réintroduction des prédateurs qui jouent un rôle important quant à l’équilibre des écosystèmes et d’autre part pour ma SÉCURITÉ (200/250 jours par an en forêt) car j’ai bien moins à craindre du loup ou des ours que des balles perdues par les chasseurs 