Nos religions du Livre, que cela soit le judaïsme, le christianisme, ou l’islam, ne sont que des histoires humaines, des histoires certes non dénuées d’intérêt mais qui ne descendent pas du ciel... des histoires d’un autre temps.
Oui, tout cela ne sont que le produit de l’esprit humain.
Les Abrahamocentrsites, et autres miditéranéocentrsites situent la demeure de leur Dieu(x) là-haut, une façon découper le monde, parmi d’autres.
D’autres cultures la situent ici bas, mer, océan, plantes, animal, etc, etc.
Quel que soit son sud, il est à admettre que son existence fut indispensable pour maintes raisons (apporter des réponses à des phénomènes, consolations, quête du juste, sublimations et spiritualités..etc).
une question que l’on peut se poser : en allant par delà la raison comme on l’entend aujourd’hui ( elle aussi exclusive et issue du cadre intellectuel d’une seule région), est-ce que, un jour, on arrivera à concevoir une pensée universelle et globalisante qui refléchira sur l’être humain et son histoire réunissant toutes les trames et toutes les logiques de pensée qui ont existé ou qui existent encore, et ce pour non seulement sortir du cadre Abrahamocentrsite ( dans l’histoire par exemple son approbation, sa négation) mais aussi pour n’exclure aucune façon de pensée, aucune histoire, aucun dieu, prophète, etc (les autres aussi avaient leurfaçon de penser le monde, leur math, leur dieu, leur prophète).
Quand le pape, Tarik (je ne sais pas si il convient de le mettre ici mais bon une image) ou autres rabbins accepteront d’incorporer cette pensée nouvelle et universelle, ce jour là on peut dire que l’humain aura franchi un grand pas dans sa reflèxion sur lui-même et sur le monde qui l’entoure.
Mais je crois que rêver c’est humain, très humain même, j’entends d’ici un chinois peté de rire : Abraham, muhahahahahah.
Mais je vois mal aussi comment l’humain aurait pu vivre sans ethno-egocentrisme et tout ça. Ethnocentrisme comme une condition d’existence, c’est bien, l’échange aussi.Une aubaine pour les recherches ? On a vécu très éparpillés dans le temps et dans l’espace
Je crois qu’il était dèjà trop tard quand l’homme a pris conscience de lui même.
Bien dit, Monsieur Mourey, l’impasse, l’aporie