@marc
Que dire si ce n’est que tu ferais mieux de relire correctement l’article que tu as bien voulu nous mettre en évidence. N’as-tu pas lu le début du paragraphe 2 de cette citation dialogue entre l’empereur byzantin Manuel II Palaiologos et un persan ?
Il y est écrit :
" Dans le septième entretien (dialexis — controverse) édité par le
professeur Khoury (théologien catholique), l’empereur aborde le thème du djihad, de la guerre
sainte. Assurément l’empereur savait que dans la sourate 2, 256 on peut
lire : « Nulle contrainte en religion ! ». C’est l’une des sourates de
la période initiale, disent les spécialistes, lorsque Mahomet lui-même
n’avait encore aucun pouvoir et était menacé.
Sans s’arrêter sur les détails, tels que la différence de traitement
entre ceux qui possèdent le « Livre » et les « incrédules », l’empereur,
avec une rudesse assez surprenante qui nous étonne, s’adresse à son
interlocuteur simplement avec la question centrale sur la relation entre
religion et violence en général, en disant : « Montre-moi donc ce que
Mahomet a apporté de nouveau, et tu y trouveras seulement des choses
mauvaises et inhumaines, comme son mandat de diffuser par l’épée la foi
qu’il prêchait ». L’empereur, après s’être prononcé de manière si peu
amène, explique ensuite minutieusement les raisons pour lesquelles la
diffusion de la foi à travers la violence est une chose déraisonnable.
La violence est en opposition avec la nature de Dieu et la nature de
l’âme. « Dieu n’apprécie pas le sang — dit-il —, ne pas agir selon la
raison, sun logô, est contraire à la nature de Dieu.
L’éditeur Théodore Khoury commente : pour l’empereur, un Byzantin qui a
grandi dans la philosophie grecque, cette affirmation est évidente. Pour
la doctrine musulmane, en revanche, Dieu est absolument transcendant.
Sa volonté n’est liée à aucune de nos catégories, fût-ce celle du
raisonnable. Dans ce contexte, Khoury cite une œuvre du célèbre
islamologue français R. Arnaldez, qui explique que Ibn Hazn va jusqu’à
déclarer que Dieu ne serait pas même lié par sa propre parole et que
rien ne l’obligerait à nous révéler la vérité. Si cela était sa volonté,
l’homme devrait même pratiquer l’idolâtrie. » "
Tronquer la vérité par malhonnêteté montre bien votre faiblesse spirituelle, vous n’êtes qu’un escroc à l’image de ce Ratzinger... qui se ressemble s’assemble !
@l’auteur
Je suis d’accord avec vous pour qu’il y ait un véritable débat, pas ce genre de fumisterie où des ignorants et des charlatans se permettent de nous faire partagés leurs haines et/ou leurs peurs... ce ne serait pas constructif.