« Ce qui a été
mis en place en Occident en 1945 puis infléchi en 1975 ne fonctionne plus ou
alors, s’il a pu fonctionner, il ne peut plus être prolongé ».
A cela il convient d’ajouter le « théorème de Schmidt »,
la plus grande duperie économique de tous les temps, véritable escroquerie économique du milieu des années 70, tout début de
la mondialisation financière, et que l’on appelait à l’époque, en économie. Le « théorème
de Schmidt », Helmut de son prénom, social démocrate, ancien
Chancelier d’Allemagne de l’Ouest ! Ce « théorème » économique
sensé traduire une vérité économique de bon sens, disait, que « les
profits d’aujourd’hui sont les investissements de demain et les emplois d’après
demain » ; à vrai dire et au bout du compte : nous les attendons
toujours ces emplois ! En effet, car, si les efforts ont bien été faits et
les profits bien réalisés, ceci, sur le dos des travailleurs, de la masse
laborieuse, avec, en France, une perte de 10 points de répartition de la
« Valeur Ajouté » pour les revenus du travail ; les
investissements, quand ils ont eu lieu, ne se sont pas réalisés là où les
efforts avaient été consentis, mais sous de cieux bien plus cléments pour les
capitaux investis ! Ils ont été réalisés, capitalisme financier oblige,
dans des pays émergeants à fort potentiel de croissance économique et forcément
de croissance capitalistique !
C’est,
là, en Europe, avec le retour du
capitalisme financier, avec le retour d’une économie de la seule rente
financière, pourtant déjà tristement expérimentée, le tout début de la
mondialisation financière de l’économie ; qu’ après ce que l’on a appelées
les « trente glorieuses »… nous vivons les « trente
piteuses », voire même plus, car dans le genre capitalisme financier,
l’argent pour l’argent, ou celui du capital qui se regarde le nombril :
nous sommes assez bien partis !