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Commentaire de njama

sur La bataille contre le cancer est perdue


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njama njama 13 novembre 2011 21:50

J’espère n’avoir écorché personne avec mon post (?)

Rester assis augmenterait les risques de cancer, qu’ils disent ! ICI
J’en déduis qu’il faut se bouger le c.. pour ne pas métastaser sur les mêmes hypothèses qui se révèlent être des impasses. Ou autrement dit façon Bernard Dugué, aller chercher ailleurs que sous le réverbère.

On sait très bien que des facteurs environnementaux, chimiques, nucléaires, sont des facteurs cancérigènes. L’obsession d’une cause génétique n’a pas trop de sens !
C’est pas Marie Curie qui le démentirait. Il aura fallu attendre les années 50/60 pour que l’on commence à prendre quelques précautions avec le nucléaire.

Déjà posté sur ce forum, mais parfois il faut se répéter.

L’accord WHA 12-40 entre l’OMS et l’AIEA , (1959) c’est ce qu’on appelle un vice de forme congénital quinquagénaire. Cet accord prive l’OMS de toute initiative et moyen pour assurer ses objectifs : la préservation et l’amélioration de la santé.

Derrière un paravent de bonnes intentions philanthropiques, cet organisme qui pilote les politiques de santé publique se cache au moins cet accord qui traduit un conflit d’intérêt patent, voire une subordination de l’OMS à l’AIEA (L’ Agence Internationale de l’Énergie Atomique).
Il a été approuvé le 28 mai 1959. En voici quelques extraits déterminants ...
Le secrétariat de l’AIEA et le secrétaire de l’OMS se tiennent mutuellement au courant de tous les projets et tous les programmes de travail pouvant intéresser les deux parties.

* L’OMS reconnaît qu’il appartient précisément à l’AIEA d’encourager, d’aider et de coordonner dans le monde entier les recherches ainsi que le développement et l’utilisation pratique de l’énergie atomique à des fins pacifiques sans préjudice du droit de l’OMS de s’attacher à promouvoir, de développer, d’aider et coordonner l’action sanitaire internationale, y compris la recherche, sous tous les aspects de cette action.
* Chaque fois que l’une des parties se propose d’entreprendre un programme dans un domaine qui présente ou peut présenter un intérêt majeur pour l’autre partie, la première consulte la seconde en vue de régler la question d’un commun accord.
* LA RÉVISION DE L’ACCORD : Si une entente ne peut intervenir au sujet de la révision, l’une ou l’autre des parties peut mettre fin à l’accord le 31 Décembre d’une année quelconque par préavis adressé à l’autre partie au plus tard le 30 juin de la même année.

Si son étude comparative avec les autres accords passés entre les agences onusiennes ne souligne aucune particularité dans la rédaction de cet accord, nous notons que sa mise en œuvre dans les faits, sur le terrain, met l’OMS sous le joug de l’’AIEA.

* L’OMS doit déclarer toutes ses intentions d’études à l’AIEA et travailler avec ou céder la place à l’AIEA.
* L’accord précise qu’aucune des deux agences ne doit subir de nuisances de la part de l’autre : Le commerce de l’AIEA ne doit donc pas pâtir de ...
* En 23 ans, aucun programme social et médical digne de ce nom n’a été mis en place dans les zones contaminées de Tchernobyl
* Dans les pays nucléaires, les études épidémiologiques sont monnaies rares.
* Dans des pays comme la France, le blackout est total sur toutes leurs activités nucléaires civiles et militaires

Depuis 50 ans, l’OMS censure toute étude sur l’impact de l’industrie nucléaire
http://www.voltairenet.org/article160442.html

Collusion OMS-AIEA
http://www.bioeco.org/docs/328.pdf


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