Comme pour la mode de la Burqa, je ne crois pas une seconde que la motivation soit le bien des gens visés. Par expérience je peux seulement projeter quelques débuts de réponses (sincères) :
- le non-emploi est l’occasion (pour moi) de travailler dur pour pouvoir présenter des références convaincantes dans le cadre de ma recherche (en programmation) car je n’attends pas qu’on m’y autorise pour exercer mes compétences. Sinon en général, on se rend vite compte que le bonheur, se sentir bien dans sa peau s’obtient lors d’un moment de répit après avoir dépensé son énergie de façon dirigée ! Bref, les riches doivent sûrement être très malheureux. J’ai ici toute une compilation d’articles qui démontrent que si on en avait le temps, la science et l’intelligence sociale progresseraient bien plus vite : http://philum.info/usertag/Revenu%20de%20vie/365
- pour le rythme de vie, sûrement ça briserait toute velléité de vivre la nuit, moment pourtant propice pour guérir de ses névroses...
- pour le lien social, il est possible que ça engendre des relations amicales et professionnelles, mais ça, on ne se refait pas, et on a pas besoin de Közi pour ça ! (si on en a envie)
- ça peut en effet permettre d’acquérir de nouvelles compétences, pourvu que cela soit choisi et non subi. En fait même je dirais que pourvu qu’on ait un job, on fini toujours par devenir un bon professionnel pour peu que cela nous plaise.