Il y a en effet des conditions qui font que soit acceptable l’idée d’un travail d’intérêt public, à part que cela est en général considéré comme une sanction pour ceux qui font des graffitis... et pas seulement aux RMIstes, qui sont souvent là pour de bonnes raisons, même si il faut être « sur le terrain » pour avoir une chance de les cerner. (une nouvelle par personne !)
Honnêtement c’est vrai que si on a besoin de nous, et qu’on est sans emploi et aussi sans activité, tout simplement, ça ne coûterait rien d’être poli, ça serait acceptable que cela soit proposé, et éventuellement un peu rémunéré, sans qu’en retour on soit jugé et puni pour notre refus.
Cela serait gratifiant et enrichissant, mais la même chose étant forcée, ça devient une violation insupportable. C’est le principe qui consiste à « forcer », et à ne pas interroger si on a déjà une activité professionnelle non rémunérée, qui est très litigieux.
je suis Pour la reconnaissance des activités professionnelles non rémunérées, c’est à dire le travail qui ne soit pas un « emploi », et qui ne profite pas à ceux à qui on ne voudrait pas qu’il profite !