"lui prescrire de couvrir sa nudité, de ne point porter d’habit
provocateur qui peut entrainer pour elle et pour sa famille le conflit
ou les désagréments«
Il va falloir de toute urgence lister les habits provocateurs car, la psyché humaine étant ce qu’elle est et les interprétations étant ce qu’elles sont, je connais quelques Occidentaux mésinterprétant ces prescriptions sans doute, qui fantasment à mort sur les niqab et autres vêtements de nonnes, quand d’autres se passionnent pour les porte-jaretelles. Les uns n’empêchant pas les autres, je trouve bien grivois et par trop restrictifs au plan des préférences de la liberté de préférer ces consignes destinées à éviter »le conflit ou les désagréments".
"il s’agit davantage de montrer à la femme, être social, l’un des moyens
par lequel, elle n’apparait pas comme un objet de plaisir mais comme un
être respectable et respecté dans son attitude et son apparence«
C’est simple : »la" femme a le choix : objet de plaisir non respectable ou être humain respecté. En d’autres termes, c’est salope ou effarouchée, Maman ou Putain. Rien de neuf sous le soleil (de Satan ou d’Allah ?).
Et ce choix mirifique s’impose non pas fonction de ce qu’elle EST mais fonction de ce qu’elle PARAIT.
Super sympa, la moraline.