Bonjour, Mylène.
J’aimerais croire, comme vous, que Sarkozy est cuit. Mais d’une part ce n’est pas joué (voir réponse à Peachy Carnehan), et d’autre part il n’y aurait rien de plus dangereux que de s’en convaincre car les attaques de la droite vont êtrre virulentes et dénuées de toute éthique. En faisant une métaphore footballistique, c’est exactement le type de danger qui menace une équipe qui mène très vite 3 à 0 avant de s’endormir, sûre de sa victoire, et de se révéler incapable d efaire face au retour de l’adversaire. C’est encore arrivé dernièrement en championnat de France : une équipe menant 3 à 0 à 20 minutes de la fin du match a été barttue 4 à 3 ! Or, en politique comme sn sport, il ne faut jamais vendre la peau de l’ours...
Je crains que l’affaire Bongo ne fasse qu’un buzz sans danger pour Sarkozy. D’une part en raison du discrédit qui frappe très largement les hommes de pouvoir africains dans le genre de Bongo, et par conséquent leur parole. D’autre part du fait de l’assourdissant silence des grands médias sur le sujet. Cela dit, c’est quand même une pierre de plus dans le jardin de Sarkozy où dominent les odeurs nauséabondes.
Le coup de l’opposition au vote des étrangers est à hurler de rire tant il est emblématique de la pêche aux voix des sympathisants frontistes. Le problème pour Sarkozy est qu’il se déjuge une fois de plus.