@Eкатерина
как хорошо вы пишите !
« et dont l’émergeance de nouveaux comportements comme celui d’un pervers narcissique, favorisés par nos sociétés individualistes, égocentristes, basées sur la séduction (dans un sens large)... »
Je suis entièrement d’accord avec vous.Voilà pourquoi pourquoi je pose la question du Bien et du Mal, réfutée par un certain corbeau(Croa) sur son arbre perché, ci-dessus.L’hyper matérialisme met en évidence à travers ses conséquences, que l’égocentrisme paroxystique peut conduire en droite ligne à la perversité.Et que par conséquent, il s’agit bien de réintroduire les notions du Bien et du Mal dans l’éducation des enfants.
"votre point de vue, même s’il est critiquable est touchant car, bien
qu’inefficace, dans quelques années, peut être même avant, cette
conception du monde et de l’enfance en particulier, manquera
cruellement...un peu comme une sorte de doudou que l’on retrouve dans un
grenier et qui rappelle tout ce que l’on a oublié et qui est si
important....«
Quelle belle image, celle du doudou. Symbole d’une enfance disparue, j’ajouterais : détruite par la société de consommation.
@Croa
»C’est discutable. Dans sa tendre enfance, l’homme est aussi
pervers que doux. C’est le milieu qui confortera éventuellement son coté
pervers, tendance rarement irréversible même devenu adulte."Et voilà ! ce sont des gens comme vous qui font qu’on donne une deuxième, puis une troisième chance à des psychopathes, de détruire de nouvelles vies.Involontairement, bien sûr !Alors je me répète : je dis que les psys (et la société toute entière) doivent se poser la question du repérage de la perversité, et aussi qu’en amont, on doit revenir à l’introduction des valeurs du Bien et du Mal dans l’éducation des enfants. Je dis que Enfant roi + société de consommation = bombe à retardement.
Cette vision manichéïste des individus étant perverse, justement...
ATTENTION, Haltoporno !
En quoi les notions du Bien et du Mal sont elles perverses ? Je pense au contraire qu’elles doivent être à la base des interactions entre les individus.Le Bien s’appuie en gros sur des actes de partage ou de don, et le Mal s’appuie sur des actes de prédation et de destruction.Y a t il quoi que ce soit de pervers dans la reconnaissance de ces deux principes reconnus depuis quelques millénaires par un grand nombre de civilisations ? Redescendez de votre perchoir, maître corbeau, ou expliquez-moi !