La réalité des armes climatiques est incontestable non pas du fait d’enquêtes réalisés par les quelques journaliste qui ont osé jouer les fouille-merde au pentagone mais du fait que l’ONU a consacré d’importants efforts à les interdires dans les années 1970 avec le traité entré en viguer en 1977 sous le nom Convention ENMOD.
Lien en français sur le site de l’ONU :
http://www.un.org/fr/disarmament/instruments/enmod.shtml
L’affaire a commencé avec un black-out qui est survenu au Canada en 1970.
Cette année là dans son livre Between Two Ages, Zbigniew Brzezinski,
écrivait « La technologie va doter les dirigeants des principaux pays de
techniques capables de mener en secret une guerre dont seules des
forces de sécurité réduites au minimum seraient au courant… On pourrait
utiliser des techniques comme la modification des conditions climatiques
pour engendrer des périodes prolongées de sécheresse ou d’orage. »
En 1997, le secrétaire d’Etat à la Défense américain William Cohen déclare (le 2 avril) :
William Cohen
«
D’autres [terroristes] se sont même engagés dans une forme
d’écolo-terrorisme par des moyens qui leurs permettent d’altérer le
climat, de provoquer des séismes ou des éruptions volcaniques à distance
par le truchement d’ondes électromagnétiques. Il y a donc plein
d’esprits ingénieux de part le monde, qui travaillent à trouver les
moyens par lesquelles ils pourraient terroriser d’autres nations. C’est
la réalité, et c’est la raison pour laquelle nous devront intensifier
nos efforts [dans le contre-terrorisme] » (conférence sur le contre-terrorisme et armes de destruction massives à l’université de Géorgie de Athens)
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-guerre-climatique-n-aura-pas-94902