"Résumé : Les militants non pas le droit de débattre entre
eux des sujets d’économie, de fiscalités, ou des questions sociales. En
effet, cela pourrait diviser le parti. D’autre part, ces questions ne
peuvent être tranchées au niveau national puisque que c’est l’Europe qui
décide. Donc, le militant UPR n’est autorisé à aborder ces questions
UNIQUEMENT pour démontrer la nécessité impérieuse que cela ne sert à
rien d’en débattre tant qu’on ne sort pas de l’Europe. «
Non, ceux qui ont déjà rejoint le rassemblement peuvent débattre autant qu’il veulent mais ils sont conscients qu’il y a un ordre de priorité pour faire les choses. D’abord s’unir pour redonner aux français le droit de décider d’eux-même ce qui est le mieux pour eux plutôt que de laisser ces décisions aux mains de la technocratie de parvenus et des lobbyistes de Bruxelles, puis quand on l’aura retrouvé se foutre joyeusement sur la gueule comme avant pour décider de »qui a raison« (avec de nouveaux outils que mettra en place l’UPR comme par exemple le référendum d’initiative populaire).
Vous ce que vous voulez c’est se foutre sur la gueule d’abord et décider ensuite avec ceux qui sont d’accord entre eux... sauf qu’il restera forcément moins de monde et pour sortir de l’UE il faut arriver 1er ou 2nd pour remporter le 1er tour. J’ajoute que l’UPR est un mouvement temporaire comme l’était le conseil de la résistance et non un nouveau parti institutionnel, si on décide d’oublier nos querelles de parti et de se rassembler c’est parcequ’on estime que le moment est suffisamment grave pour faire front commun contre le vol réel de souveraineté et de démocratie que nous subissons et qui est largement ressenti dans la population française je pense. J’ajoute encore que l’UPR prévoit de réformer le financement des partis politiques de sorte qu’il y ait à nouveau un vrai débat démocratique lors des élections en France, de ce fait les »petit" partis qui n’avaient pas accès aux financements et aux médias ne seront plus lésés par rapport au grands partis.