Une réforme serait évidemment constructive et novatrice.
On se dépêchera de la caricaturer pour la mettre en pièce.
Le chef d’établissement est effectivement le mieux placé pour juger de la qualité des enseignants, du moins sur certains sujets : Travail d’équipe, assiduité, et engagement dans les projets pédagogiques.
Sur la spécificité de l’enseignement, c’est une autre affaire : Une double appréciation serait la bienvenue, mais déchargerait les inspecteurs d’une partie de leur mission, qu’on pourrait concevoir plus légère.
Bien sûr, toute véleité de changement est toujours aussi bien reçu dans l’enseignement, dont on assiste pourtant à la faillite, avec creusement des inégalités, qui ont font le cancre maintenant de l’Europe, pour tout de même un budget conséquent.
Il faut quand même le dire, les enseignants qui n’ont pas les qualités, ( ils en existent évidemment et il faudrait être d’une mauvaise foi totale ou ne pas avoir d’enfants) n’ont malgré les résultats décevants, les plaintes des parents, aucune crainte de devoir quitter l’éducation nationale.
Tant pis pour les gosses
C’est crevant de dire toujours la même chose, et de voir le bateau s’enfoncer, de se faire tirer dessus à vue penché sur leur clavier.
J’abrège donc.
Malgré tout dire encore que la france est devenu une exeption.
Des lycées avec de profs imposés, c’est dans ce pays, où aucun recrutement interne n’est possible. Juste des mutations permises grâce à leur points banania patiemment .rassemblés.
Une caricature qui passe de plus en plus mal au yeux du public.
Rappelons que d’ autres fonctionnaires, comme dans les hopitaux par exemple, on est recruté par le DRh et notés chaque année selon leur engagement et leurs qualités.