Désolé, dans l’excitation et la difficulté à publier (je suppose que mon premier message n’était pas apprécié par la gent pétro-nucléaire, et qu’il a été moinssé tant et plus), j’ai fait un lapsus digitalae..
Il s’agir bien sûr de Nickel en micro ou nano-particules.
Mon premier article, je l’ai réduit, et je vous en donne le début, pour tenter d’expliquer le cheminement et l’historique de la fusion ou de la transmutation.
Nucléaire, photovoltaïque, éolien : c’est fini ?
Ces trois sources d’énergie sont obsolètes, périmées, à reléguer dans les oubliettes de l’Histoire.
Nous avons désormais beaucoup mieux.
Bien sûr nous n’en sommes pas encore tout à fait à l’énergie libre,
infinie et gratuite, qui existe depuis bien longtemps, mais la science
« peu » officielle vient de faire un spectaculaire bond en avant, un
bond vers le futur.
On ne comprend pas encore tout à fait comment cette révélation miraculeuse a pu avoir lieu, toutes les percées dans ce domaine ayant été jusqu’ici soigneusement occultées au nom des intérêts supérieurs des états, de
la défense nationale, mais surtout des compagnies pétrolières et des
lobbies nucléaires, quand ce ne sont pas ceux des énergies nouvelles.
Mais c’est un fait, il existe un procédé magnifique et époustouflant qui vient de passer tous ces écueils, bien qu’on n’en parle pas encore beaucoup.
Il faut dire que l’industrie nucléaire va prendre un grand coup derrière les oreilles.
Au cours des recherches autour de la fusion froide, et bien que les inventeurs tiennent absolument à préciser qu’il ne s’agit pas de cela (sans doute pour ne rien devoir à Pons et Fleishman ?), un nouveau procédé vient d’être mettre
mis au point pour produire de la chaleur (ce que fait très salement la
fission nucléaire), et donc de l’énergie convertible en électricité. Si
ce n’est pas de la fusion froide opérationnelle, ça y ressemble
furieusement.
Le mécanisme est mal compris pour l’instant, mais ce qu’on peut
observer, c’est que du nickel se transforme en cuivre et en fer. Cela
s’appelle une transmutation. Personne n’a dit que c’était impossible,
mais on a toujours prétendu qu’une transmutation nécessitait des
énergies considérables : à Cadarache, par exemple, on veut obtenir une
fusion nécessitant des températures de l’ordre de 100 millions de degré. Une utopie absurde, qui nous coûtera un max et fera un flop.
Cette nécessité de puissances formidables pour obtenir une
transmutation est un dogme, une religion, nés d’une compréhension
incomplète et obsolète de la physique. Je ne prétends pas remédier à
cette méconnaissance, je me contenterai de dire que les faits la
prouvent.
Je ne vais pas revenir sur la science des alchimistes, qui prétendaient transmuter du plomb en or en présence de mercure. Je
ne sais pas s’ils l’ont fait, mais il faut reconnaitre que plusieurs
centaines d’années avant Mendeleev, ces hommes avaient quelque mérite à
avoir pressenti que ces trois métaux, en apparence si différents à part leur masse volumique, avaient une composition extrêmement voisine.
J’en dirai un peu plus sur Louis Kervran, un savant maudit, observateur
émérite : cet homme remarquable découvrit une chose très simple. Des
poules privées de Calcium produisaient des œufs à coquille molle. Un
apport de Silice sous forme de mica dans
leur alimentation faisait que dès le lendemain, elles produisaient à
nouveau des œufs normaux, avec une coquille riche en calcium.
En termes simples, cela s’appelle une fusion, qui pourrait être celle
d’un atome de silicium (28) avec un atome d’oxygène (16) pour donner un
atome de calcium (40) et sans doute de l’hydrogène, (à moins que ce ne
soit silicium + carbone (12) donne Calcium (40). Je ne m’avance pas trop
là-dessus, mes souvenirs étant flous, et peu importe).
Et cela dans le cul d’une poule qui ne dépasse pas les 40°C.
Cela veut dire que la fusion ne demande pas les énergies formidables
qu’on nous dit. Cet homme génial a prouvé que de nombreuses autres
transmutations biologiques avaient lieu dans la nature, chez les plantes
et les animaux, à températures biologiques, et que même nous, pauvres
mortels, de même que Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le
savoir, faisions des transmutations à basse température sans le savoir
quand la pénurie d’un élément se faisait sentir.
Donc le dogme de la transmutation impossible prend ici une grande claque.
Je vais vous concocter un article sur Kervran qui vous en dira long sur la puissance des lobbies, et la façon dont on traite les génies au pays de l’or noir. Après les fêtes.