@Eric
« Grâce au recul dont nous disposons ont peut désormais évaluer ce qu’est le
socialisme. C’est une régression de type religieuse pour des catégories
sociales angoissées par le monde moderne, des gens en transition sociale et
qui le supportent mal. De ce point de vue, et parce que les sociétés
libérales sont par nature évolutives, il est juste de dire qu’ils sont
effectivement victime du libéralisme. Il l’expriment d’ailleurs de façon
assez attendrissante. Ainsi a un quelconque porto allègre, les alter ont
affirme conjointement, avec cet absence de cohérence intellectuelle qui les
caractérise et les révèle, "qu’une autre vie était possible, mais que
malheureusement, elle ne l’était pas parce que le « système capitaliste » s’y
opposait victorieusement".....Soit dit en passant, cela est bien la preuve
que ce qui les intéresse vraiment est que les autres, vivent autrement,
comme eux le voudrait : le pouvoir ! Parce que des milliers de moines et
religieuses dans le monde par exemple, prouvent que l’on peut faire
délibérément le choix de vivre autrement en dehors du systeme, sans que qui
que ce soit s’y oppose...
A tous égards, l’adhésion a des idées « socialiste » s’analyse comme une
réaction a des situations d’anomie et donc comme une réponse a une
pathologie sociale. Mais cela, on le sait depuis longtemps. Des petits
bourgeois qui se prennent pour une avant garde « ouvrière » dans des sociétés
qui ni au 19eme ni au vingtième ni encore moins au 21 eme siècle n’ont
jamais été majoritairement ouvrières, ou qui quelle que soit leurs
difficultés a définir le « peuple » aboutissent touours a des définitions qui
les placent en dehors, ont nécessairement un problème d’identité. »
Désolé, cher ami, mais tout ce qui précède n’est à mon sens que salmigondis empreint de sophismes et d’extrapolations.