Sous nos climats, les personnes ne résistent ni au froid de l’hiver, ni aux chaleurs de l’été et meurent sous une mince toile de tente, aux abords de nos villes.
La responsabilité des Associations Caritatives, n’est pas exempt de reproches, en regard de ses actions qui sont à rapprocher d’un un emplâtre sur une jambe de bois ! Pis, freinent toute intiative de changement profond des mentalités sociétales, de politique adéquates et volontaristes pour endiguer le fléau.
Quand aux politiciens, ils surfent décomplexés, sur la vague de la misère, sans retenue et décence, pour promettre en période électorale de s’intéresser aux exclus et ne rien faire, une fois élu. Nicolas SARKOZY s’est particulièrement illustré, par des engagements non tenus, en ce qui concerne le volet précarité. « Si je suis élu, je n’abandonnerais personne au bord de la route » disait-il, avec cynisme ; Un cynisme de très haut niveau. « C’est à sa tête que l’on reconnait un poisson pourri » proverbe breton ququel je souscris sans réserve.
Quelques marchands vont encore plus loin, dans l’ignominie en prétendant adoucir le sort des sans logis, en proposant au Gouvernement d’équiper les plus à la rue, d’un kit hivernal de survie, pour faire leurs choux gras sur la misère grâce à la paupérisation galopante de la France.