Vipère,comment expliquez-vous que pile-poil lorsque ce repenti de carnaval arrive sur les lieux :
"De sa petite radio à piles, encore allumée, retentissait une chanson,
particulièrement de circonstance : « Je suis né dans la rue », de Johnny
Hallyday. Puis ce fut le tour de Céline Dion, sur des paroles de
Jean-Jacques Goldmann : « Pour que tu m’aimes encore ». Cruelle ironie
du sort lorsqu’il n’y a plus personne, au contraire, pour vous aimer,
pas même la nuit, sainte entre toutes, de Noël !"
C’est un miracle de la programmation radio non ? et vous y croyez ?
L’auteur est donc présent sur Médiapart,pas ici,mais autre chose:il dit bien (ici) que c’est sa femme, gentille, qui accueille ? et qu’il regrette de n’être que spectateur,pourquoi alors le revendique t-il en étendard sur Médiapart ?
Mais surtout : pourquoi associer ce SDF au dandysme,sujet du livre,cité et référencé,si ce n’est pour servir ses intérêts ?
Non,décidément,je ne marche pas dans ce misérabilisme de salon.
Meilleurs voeux à vous !