@ L’auteur
« Entre les allers retours incessants de l’Abbé Saunière(s), pouvant le mener à Bugarach, pas si éloigné de Rennes le Château, el le nom curieux de « Bugarach » que l’on ne peut s’empêcher de rapprocher de « Bourg de l’Arche », le mystère s’épaissit. »
Vous y allez un peu fort en situant Bugarach (le Pech, le village n’ayant rien de particulier) pas si éloigné de Rennes le Château.
Certes, l’abbé était bien bâti et bon marcheur, mais la topographie des lieux est pour le moins hostile et les chemins de traverse longent souvent le précipice.
Ce qui vous semble près à vol d’oiseau n’est qu’illusion pour le piéton.
Selon ses contemporains, l’abbé Saunière avait coutume de de se rendre à Blanchefort et d’en ramener des pierres blanches pour orner son jardin.
De temps en temps, ses promenades le conduisaient à Rennes le Bains, où il rendait visite à l’abbé Boudet, lequel reçut sa confession et en mourut.
Reste à savoir ce qui attirait Saunière à Blanchefort.
Celui qui s’y rend aujourd’hui trouvera un rocher calcaire d’un blanc immaculé, au sommet duquel trônent les vestiges d’un poste de garde et dont le flanc est percé d’une grotte obstruée par des éboulis qui n’ont rien de naturel.
Les plus courageux tenteront un « tout droit » vers la Saltz et découvriront tout un réseau de boyaux pleins de mystères.
Ajoutez les opérations commando sur le château des Templiers du Bézu, un zeste de forêt d’Arques, des tombeaux qui n’ont eu de cesse de changer de place, les énigmatiques tableaux de Nicolas Poussin et invitez Hercule Poirot à souper à la ferme des Trois Capitaines.
Le mystère s’épaissit et n’est pas en passe d’être résolu....