Ce sont les mots qui donnent les grandes directions d’une autre politique économique et sociale. Si vous pensez que présenter des idées à l’occasion d’une présidentielle n’est pas approprié, nous n’avons pas la même conception de la démocratie et de la politique.
Quant au chiffrage, ça ne sert pas à grand chose. Les ennemis de ces idées s’en serviront toujours pour tordre les chiffres dans tous les sens et démontrer que 1) la chose n’est pas réaliste , 2) que ce n’est pas faisable.
Ces idées que nous défendons, donnent les grandes lignes d’une politique économique et de partage, avec laquelle on est d’accord ou pas, mais qu’on ne dise pas que ce n’est pas faisable (le coup du chiffrage c’est à cela que ça revient), c’est une question de volonté politique et de priorités d’action.
On connaît bien les priorités d’action de la droite (faire payer les pauvres et les classes moyennes au profit des plus riches), permettez-nous de présenter (sans trop les dénigrer) nos priorités à nous, qui sont exactement inverses, après, nous sommes démocrates, nous nous inclinerons devant le vote du peuple (pas comme certains lors du référendum européen !). Et nous continuerons à défendre nos idées, jusqu’au jour où les plus nombreux, s’apercevront, pour certains d’entre-eux, qu’ils se sont trompés d’idées et rejoindront les nôtres et ceux qui les représentent.
Lisée.
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