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Commentaire de bobos

sur Johnny aurait pu être député plutôt que résident suisse


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bobos (---.---.82.157) 17 janvier 2007 10:45

Bien vouloir prendre connaissance de ce qui suit pour arrêter de dire n’importe quoi. L’impôt est au service d’un objectif »

« L’impôt est au service d’un objectif, il n’est pas abstrait, il ne se limite pas à « on augmente ou on baisse ». Ce n’est pas un argument politique. La politique, c’est d’utiliser les outils au service d’objectifs comme ramener le taux de chômage en dessous de 5%. Parmi les outils économiques ou sociaux pour parvenir à la baisse du chômage, il y a l’outil de la fiscalité. L’outil de la fiscalité sur l’environnement. L’outil de la fiscalité dans la décentralisation, qui sera une réforme très importante à faire en transférant aux collectivités les moyens d’exercer leurs responsabilités parce que c’est une source d’économie. Il y a aussi la lutte contre les gaspillages. Et il y a, enfin, l’impôt par rapport à l’efficacité économique et l’impôt par rapport à la justice sociale. » RTL, 7 juin 2006

« L’impôt doit être transparent et juste »

« Le problème, ce n’est pas l’augmentation des impôts c’est la clarification de l’impôt. Le prélèvement fiscal doit d’abord être compris par les citoyens, c’est un objectif de la réforme. Il doit être transparent. Il doit être juste. » RTL, 7 juin 2006

« C’est cela, pour moi, la démocratie participative : des contribuables décidant de l’utilisation de leurs impôts »

« C’est cela, pour moi, la démocratie participative : des usagers du service public décidant de l’usage des fonds régionaux, des contribuables décidant de l’utilisation de leurs impôts. » Université d’été d’Attac, 25 Août 2006

Nous pouvons mettre en place les budgets participatifs au plan local

Il y a un gros doute sur l’utilisation de la dépense publique. Je pense qu’il faudra faire voter une partie de la dépense des budgets locaux, municipaux, départementaux, régionaux, sur des termes qui seront à définir par les élus. Il n’y a pas d’opposition entre démocratie participative et la démocratie représentative. Au contraire, je pense que nous exerçons encore mieux la responsabilité d’élus si on est capable de déléguer aux citoyens une partie des responsabilités. Villeurbanne, 9 mai 2006

« Les bonnes mesures »

« Faire reposer les cotisations employeurs sur l’ensemble de la richesse produite »

« Faire reposer les cotisations employeurs sur l’ensemble de la richesse produite - la valeur ajoutée - plutôt que sur les seuls salaires a effectivement un sens pour le financement de prestations universelles (famille, maladie). Ce serait le pendant, côté employeurs, du basculement sur la CSG des cotisations maladie des salariés, réalisé en 1997. En déconnectant le coût de l’embauche pour l’entreprise du financement de la protection sociale, l’objectif est de favoriser l’emploi mais sans pénaliser la croissance. Cette réforme n’est pas simple à mettre en oeuvre, et c’est sans doute pourquoi, entre 1997 et 2002, elle n’a pas été réalisée. Je crois, pour ma part, que le travail ne doit pas être plus taxé que le capital et qu’en matière fiscale les bonnes mesures combinent la lisibilité, la justice sociale et l’efficacité économique. » Le Nouvel Observateur, 5 octobre 2006

« Un impôt citoyen sur le revenu, prélevé à la source »...

« L’impôt sur le revenu n’est pas ce que l’on croit. Sa composante progressive, la moins importante, n’est pas acquittée par la moitié la plus pauvre des Français, mais sa composante proportionnelle, la CSG, l’est par tous les citoyens. Leur somme est comparable au poids de l’impôt sur le revenu dans les autres pays européens, mais notre double imposition cumule les défauts. Les réductions bénéficient aux plus aisés alors que la CSG, impôt payé par tous, a tendance à croître pour équilibrer les finances sociales. L’impôt sur le revenu ne joue plus correctement son rôle redistributif. Je suis donc favorable à sa fusion avec la CSG et à la reconstruction d’un impôt citoyen clarifié, sans niches fiscales, doté d’une assiette plus large, mais progressif, comme le propose le projet socialiste. (...) Cela créerait les conditions d’un prélèvement à la source. Mais, là encore, pas d’arrogance de gouvernement ! La volonté politique s’exerce d’autant mieux qu’on a su prendre le temps d’une large concertation avec les partenaires sociaux et de bâtir avec eux des solutions équilibrées. » Le Nouvel Observateur, 5 octobre 2006

« La mise en place d’une véritable fiscalité écologique »...

« Je veux faire de la France un pays exemplaire en Europe et dans le monde dans la lutte contre le réchauffement de la planète, la gestion de l’eau, la priorité aux énergies renouvelables, le développement des transports propres, le traitement des déchets et la mise en place d’une véritable fiscalité écologique. » Profession de foi

... en rompant avec l’immobilisme de la droite :

L’insupportable lenteur dans le développement des biocarburants est due à l’absence d’une fiscalité écologique alors que des milliers d’emplois pourraient être créés dans les filières éco-industrielles et donner des débouchés à l’agriculture. Le Monde, 2 Août 2006

« Un statut fiscal très incitatif pour les investissements dans la recherche et l’innovation »

La première mesure à prendre de manière massive, c’est un statut fiscal très incitatif pour les investissements dans la recherche et l’innovation. Et dans l’environnement, pour toutes les éco-industries. Les Echos 19 mai 2006


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