La supériorité ne veut rien dire, ce n’est pas ici un problème mathématique, c’est une question d’amour. Chacun a ses petites habitudes et veut vivre dans un environnement qui lui plait. Il en souhaite de même pour ses enfants.
Le problème soulevé n’a rien à voir avec le fait de savoir s’il existe une hiérarchie absolue des races, de la pire à la meilleure.
Le problème vient de la mise en relation de populations aux moeurs différentes, suite à des décennies de migrations en provenance des pays du tiers-monde, principalement musulmans, ce qui génère donc des tensions sociales dans la société et pénalise donc le pays et ses perspectives de prospérité future.
Il illégitime que les primo-arrivants, qui se sont déportés par eux-mêmes, attirés par les richesses du pays, imposent leur mode de vie aux autochtones. Les autochtones, en effet, ne se sont pas déplacés et n’ont donc pas demandé à vivre dans une société différente de la leur.
C’est donc aux primo-arrivants de s’adapter à la société qui les accueille, société qui préexistait à leur venue. L’Etat peut certes prendre des mesures pour faciliter cette adaptation. Cependant, ce serait jouer un jeu dangereux de la part des primo-arrivants que d’utiliser ces mesures facilitatrices non pas à la fin de s’adapter à la société, mais à la fin de pouvoir grossir dans leur particularisme jusqu’à saisir le pouvoir politique.
Cela déboucherait en effet, sur des conflits politiques majeurs.