@ easy
Qui vous dit que je cherche à m’attirer les bonnes grâces des princes ? Que j’écrirais mes textes pour orienter l’Histoire dans mon intérêt personnel et que pour cela, je ferais mieux d’user de flatteries. Non, monsieur, je ne mange pas de ce pain là ! Je dis ce que ce que je crois vrai et j’en informe qui de droit, à charge pour ces responsables de faire leur choix. Que les choses soient bien claires. J’informe, et si la réponse n’est pas au rendez-vous, je juge, et cela sans concession. Ce n’est pas à 79 ans que je vais me transformer en carpette. Je n’ai rien à gagner dans cette histoire et rien à perdre.
Vous avez relevé ma phrase concernant l’emploi. Certes, vous avez raison de me la reprocher. Mais si je l’ai écrite, c’est un peu pour réhabiliter nos grands ducs de Bourgogne que l’épopée de Jeanne d’Arc a rejetés un peu dans l’ombre. Cette période n’a rien à voir avec celle que vous évoquez. C’est une période de grand essor économique et agricole. Des chantiers de construction ont offert du travail à tous. Et c’est à cette époque qu’on s’est le plus soucié des malades sans ressources, les hospices de Beaune du chancelier Rolin en sont la preuve.
Question stratégie, je n’ai de leçon à recevoir de personne. Quand une stratégie amicale et de bonne volonté échoue, cela signifie qu’on a en face de soi des adversaires de mauvaise foi et qu’il faut changer de stratégie. Donc, qu’on attende pas de moi, que je fasse l’éloge des médias, que cela soit pour mon journal local ou pour Fr3 Bourgogne, ni à fortiori des archéologues du mont Beuvray et de ceux qui gravitent autour. Quant aux collectivités locales, c’est à elles de faire leur choix en faisant preuve d’intelligence et de sincérité.