Je récapitule donc pour ceux qui n’auraient pas suivi.
« On » parle sionisme. Gonzague, naïf, demande à l’un des contributeurs
ce qu’il entend lorsqu’il assène que « beaucoup de chose [sont] malsaine dans la pensée sioniste ».
Helios, le contributeur initial en question, avait déjà cité un exemple de
nocivité, caractéristique faisant effectivement froid dans le dos-du fait
notamment d’un système de pensée sous-entendu et dont chaque « sioniste »
semble volontairement pourvu : "[ne
pas] dire la verité , mais [...] dire ce que l’on voudrait que les autres
persoivent".
Diable ! On s’imagine dès lors un démon, une
créature infâme, un gredin amoral, qui mange avec les doigts. Le sioniste est donc malsain©, calculateur™, menteur®,
pervers et sournois. Cherchant à en savoir plus sur ces créatures, Gonzague réclame
au spécialiste ès sionisme des
informations supplémentaires, après tout il a des enfants. Si jamais un sioniste
devait les aborder dans la rue, comment reconnaître le danger qui louvoie ?
La réponse d’helios est terrifiante : "Il
ecoute bruel , macias , finkelkraut ou le clown en patin à roulette"
Je comprends dès lors toute la perversité du sionisme. Sa profondeur d’action
politique, les moyens mis en place pour asseoir sa domination mondiale sont en
effet diaboliques. Bruel, Macias, Finkielkraut, un type en patin à roulettes !
Ne sortez plus la nuit tombée…