Un article sur ces évènements :
Faurisson au Zénith ? « Une bombe médiatique artisanale, de ma fabrication, dit Dieudonné. Fallait
que je trouve plus fort que Le Pen. Tu peux pas faire deux fois un coup
avec le même personnage. Et puis moi je ne suis pas du Front national,
j’en ai rien à foutre de ça. Bon le mec est sympa, on s’est bien amusé », ajoute-t-il.
Devant ses spectateurs, Dieudonné raconte que « ce n’était pas évident de trouver plus infréquentable que Le Pen ». De Faurisson, il en parle comme « un poids lourd. Même moi il m’a choqué. (…) A côté Le Pen, c’est Casimir dans l’Île aux enfants. C’est Lorie. » Et d’ajouter : « Dans le métier, si tu sers la main à ce mec là, t’es grillé, t’es calciné. Vaut mieux avoir le Sida ».
Dieudonné raconte sa rencontre avec le négationniste : « Il m’a dit « s’il faut taquiner, j’ai de quoi envoyer ». (…)
Sa spécialité, c’est la contestation. Il conteste, très très fort. (…)
Je me suis dit, avec un mec comme ça, on va faire péter le compteur. » Très fier de l’indignation provoquée, il lance : « C’est
nucléaire ce qui vient de se passer. J’ai fait mieux que Fourniret,
Dutroux, tous les pédophiles. Pourquoi tu vas te faire chier à violer un
enfant. T’invite Robert chez toi, t’es pénard »…