Méanrgue et l’extrême droite :
Le 28 juillet 2004, Alain Ménargues est nommé directeur de l’information de RFI. En septembre de la même année sort son livre Le Mur de Sharon dans lequel il anticipe les problèmes qui risquent de lui arriver pour vouloir dénoncer certains aspect de la politique israélienne et les interpréter à la lumière de supposées caractéristiques du judaïsme. Il reçoit des critiques virulentes de certains journalistes notamment du quotidien Libération, et ses propos tenus sur Radio Courtoisie (une radio qu’Alain Ménargues, dans une interview publiée le 15 novembre 2004, définit comme « une radio catholique située à l’extrême droite ») sont jugés « intolérables » par les syndicats du personnel de RFI qui obtiennent le 17 octobre sa démission de ses fonctions de directeur de l’information.
il en a été disculpé par la justice :
La Cour d’appel de Paris, dans un arrêt rendu le 6 mars 20093, a estimé que les propos d’Alain Ménargues avaient été émis « dans le cadre de sa liberté d’expression d’auteur, insusceptible de tomber sous le coup du pouvoir disciplinaire de l’employeur. » Quant au « prétendu trouble (..) il s’avère dépourvu de pertinence et doit donc être écarté ». Pour le reste, la Cour a jugé « qu’aucune des fautes invoquées par la société RFI à l’encontre d’Alain Ménargues n’étant établie, (son) licenciement doit être dépourvu de cause réelle et sérieuse ». RFI a été condamnée à verser à son ancien N°2 l’intégralité des droits inhérents à son licenciement, aux indemnités qui lui sont dues pour ses 32 ans d’ancienneté dans l’audiovisuel public et à des dommages et intérêts.
La Cour de cassation, dans un arrêt rendu le 9 mars 20114 a confirmé le jugement de la cour d’appel.
à trop fricoter avec l’extrême droite....
qu’est ce qu"il est allé foutre dans cette radio repaire de nazillons ?