Le problème, c’est que l’image de la femme est régulièrement présentée dans des positions de soumission, de domination et de service. Et là , c’est encore une fois de plus. Le thème de l’infidélité peut être représentée autrement sur cette affiche.
je ne parle pas ci des positions sexuelles en général, mais encore une fois dans ce film, ces deux mecs qui trompent leur femme apparaissent dès l’affiche comme les héros, les meneurs, les décideurs d’une histoire où les femmes sont des objets à baiser.. sans visage d’ailleurs. Réduites à la seule partie du corps qui intéressent ces messieurs.
il n’y a pas que les femmes qui utilisent les balais, les lessives.. les hommes savent aussi s’en servir. Pas forcément besoin de mannequin !
Le contenu de votre post ne répond à rien : vous répondez dans l’opposition exacerbée à tout argument avancé et en ce sens cela ne peut amener aucun échange, car le contenu perd de son sens. Je parle plus précsément de ceci " D’ailleurs si l’on va dans ce sens, il reste peu de positions pour faire l’amour. Même le missionnaire passe à la trappe : vilaine domination d’être au-dessus. la femme sur l’homme : interdit. L’homme sur la femme : interdit. Les hommes plus grands : interdit ; on leur donne un traitement hormonal pour qu’ils ne deviennent pas plus grands que les femmes. On fait muter les femmes pour qu’elles aient un pénis aussi grand que celui des hommes.

Pour la lessive, on présentera un baril fixe avec une phrase écrite : ceci est de la lessive qui lave. (hé oui, ni femme, ni homme, ni voix féminine ou masculine). Les voitures : personne ne les conduira. Les soutien-gorges, sur des mannequins."

personne n’a dit cela ici, en tous cas pas moi !

Personne non plus ne veut gommer les différences entre hommes et femmes. Chacun et surtout chacune veut être respectée dans ce qui fait sa féminité et sa personne. mais, ça c’est du subtil, et côté cour, pas Dujardin.

Si ça pète un jour, ce n’est pas parce qu’on aura gommé les différence, mais c’est parce que l’exploitation en tout genre, un jour, plus personne ne supportera. Et c’est bien parti ;