Bonjour,
j’espère que vous faites la cuisine d’une manière un peu moins confuse que
celle avec laquelle vous écrivez. Non pas qu’il n’y ait pas de très
bonnes choses, mais on a parfois un peu de mal à vous suivre.
Votre premier article : vous oubliez la référence du livre dont vous
parlez et comme apparemment vous ne suivez pas les commentaires, vous ne
rectifiez pas.
Le troisième est carrément de la promotion de votre propre livre. Là il y
avait de quoi s’indigner. Mais bon vous avez été publié, la rédaction a
laissé passé...
Et là, vu qu’il y a le mot « indignez » dans le titre, forcément je
m’arrête, et d’autant plus volontiers que bientôt apparait le mot
« gastronomie ». Mais j’ai pas compris la phrase qui le contient. Mais de
quoi parlez-vous exactement dans votre article ?
« je dénonce surtout cette dictature du goût. » :
je suis d’accord, dénoncer les dictatures ça me convient. Mais pour
vous, là, c’est laquelle ? Et, vous dénoncez « le » restaurant, dans son
principe ?
"Je voudrais que chacun puisse faire grandir sa propre vision du « bon »,
sans que les responsables marketing la définissent pour nous" : c’est
plus clair. Et ça c’est un vrai combat, et qui le restera dans l’avenir,
si celui-ci demeure .
En tout cas, si je puis me permettre, si vous pouviez un petit peu mieux
exprimer votre indignation tout le monde y gagnerait. Sinon on finira
par penser qu’il y a parfois comme une légère tendance aujourd’hui à
abuser de la formule « Indignez-vous », ou du mot « indigne ». Comme dans
cette provocation à but auto-promotionnel profondément indigne de
l’autre article du jour.