Je commencerai par une question.
Le risque à la corrida est pour le taureau ou pour le matador,à la chasse pour le lion ou le chasseur ?
Les chiffres que vous donnez sont justement la base de la condamnation des capital « risquant rien »
En effet ils choisissent des entreprises en très bonne santé sur des marchés en croissance ou à concentrer et générant énormément de cash !Et ce afin de payer l’emprunt destiné à racheter l’entreprise à crédit .
On rajoute un peu de mezzanine,on rationalise la gestion,on fait un peu ou beaucoup de croissance externe en rachetant un ou plusieurs concurrent et on revend de 3 à 5 ans aprés aprés un T. R. I. de 35 % . (Taux de retour sur investissement)
En clair 7 à 13 fois le capital investi !
Même aux temps des débuts de l’industrialisation,au Far-West on avait jamais vu celà !
Création réelles d’emplois à part chez les fonds 0 .ce ne sont que des agregats d’entreprises efféctués par rachat ou fusion
Création de valeur 0
En revanche allez présentez un dossier d’investissement de 10 000 à 1 millions d’euros pour une PMI innovante chez ces messieurs de l’Afic si bien représenté par Monsieur Patrick Sayer dont les propos dans le Monde du 16 janvier ont le mérite de la franchise ;
En cas de participation des salariés à la plus-values d’une société « ou les salariés ne sont guère nombreux,ils seraient quelques-uns seulement à se partager le pactole » !
Et oui Marie -Antoinette n’est pas morte ! Ce qui est bon pour les dirigeants de fonds ne l’est pas pour les salariés qui font la richesse de l’entreprise !
Alors de grâce,un peu de décence,gagner des fortunes en peu de temps c’est le but de beaucoup,mais se faire l’abbé Pierre alors qu’on n’est qu’ un vulgaire financier ne recherchant que le profit maximum à court terme,au mépris souvent des logiques industrieles et commerciales ,contre l’interet du Peuple et de la Nation c’est ajouter le mépris à la prédation