Ceci étant dit, Morice, vous n’avez toujours pas proclamé que le coran est un ramassis de mensonges alors que c’est une EVIDENCE pour TOUS les non musulmans ... comprenne qui pourra !
écoutez la nazillonne de service là, ça fait DIX FOIS QUE JE VOUS REMETS LE MEME TEXTE QUI EST UNE CONDAMNATION ! DIX FOIS !
Vous savez ce que je pense des religions, c’est clairement expliqué dans mon CV. Mon athéisme n’est pas de pacotille : il est franc et net : Mahomet, Jésus ou Bouddha sont pour moi des personnages fabriqués par l’esprit humain, à savoir qu’à une possible réalité on a ajouté une série de couches de racontars et d’imaginaire pour enjoliver des personnes. Des personnages certes à part (ou plusieurs mélangés en un seul par simplification abusive), mais qui n’ont pas nécessairement été ceux que leur hagiographie décrit. J’acquiesce en effet entièrement ainsi à la thèse comme quoi « la religion est une épidémie mentale que l’on peut attraper avec une certaine probabilité », comme le dit Pascal Boyer, dynamique directeur de recherche au CNRS. Je vous avouerai que mes connaissances sur le bouddhisme sont très peu avancées, aussi puis-je seulement parler des deux que mon enfance ou ma carrière m’ont obligatoirement fait rencontrer. Evidemment, mes propos pourront choquer certains. Qu’ils les oublient et restent avec leur croyance, je n’ai pas la prétention de vouloir les faire en changer.
J’ai déjà expliqué ici même qu’il nous fallait enseigner le monde de l’islam en cours d’histoire, j’ai bien été obligé de bûcher pour le comparer au christianisme, religion de référence des classes de l’époque : aujourd’hui, en banlieue parisienne ou lilloise ce ne serait plus la même, loin s’en faut. Ayant été un bon élève de catéchisme, ayant eu de très bons curés dans mon village natal (on m’a élevé en chrétien sans me demander mon avis), j’en avais presque assez pour effectuer mes préparations professorales. Pour l’islam c’est autre chose, et j’ai bien dû m’y mettre alors que j’étais déjà athée depuis ma période philo au bac, qui a été chez moi l’élément déclencheur. Ça remonte donc à loin comme conviction (quarante ans). Et finalement, ça a été plus facile : Mahomet est apparu tardivement, les écrits datent de son existence, et c’est bien pour cela qu’on peut plus difficilement remettre en cause son existence réelle. Avec une religion qui interdit sa représentation, c’est en revanche assez difficile de tracer un portrait robot de l’individu. Pour résumer de façon express (ça va choquer, c’est sûr), nous avons affaire à un chef de tribu, commerçant, menant plutôt une vie de patachon, à qui un jour (tardivement) Dieu s’adresse directement. C’est une religion révélée, l’une des pires, car ayant pour base un seul homme, qui à partir d’un délire mystique, qui lui est propre, établit une religion durable, alors qu’au départ, comme toute religion, ce n’est qu’une simple secte reposant sur des divagations qui, en d’autres circonstances et autres époques mèneraient directement en hôpital psychiatrique. Les religions sont souvent issues de bouffées délirantes. Pour les étayer, le plus souvent, le prophète se dit à part, et surtout unique, ou reprend ce qui a été dit parfois par d’autres illuminés, devenus par sa grâce prophètes de catégorie inférieure.
Car c’est une évidence de constater que toute religion est une secte, mais une secte qui a réussi, elle. Et on comprend aussi pourquoi, dans ce sens, toutes les religions passent leur temps à faire la chasse aux autres sectes : elles savent très bien d’où vient le danger... de la concurrence. Pour en revenir à notre commerçant batailleur, il épouse un jour une riche veuve, de presque deux fois son aînée, qui va avoir une emprise terrible sur lui, chose visible sur le rôle donné aux femmes dans sa religion. Khadija est jalouse, connaissant son mari volage, et lui impose des règles de vie qui vont déteindre plus tard en préceptes religieux stricts : voiler la femme, c’est ne pas laisser la possibilité d’être séduit par un visage ou un corps. La veuve garde ainsi son mari, qui est empêché d’aller voir ailleurs ou d’être séduit par un visage ou des cheveux, élément principal de séduction à l’époque.
Comme notre homme dicte (il est illettré) au jour le jour pendant 23 ans ses préceptes, au fur et à mesure de ses illuminations, et qu’ils seront recopiés par des disciples qui vont très vite s’écharper sur son héritage, le Coran devient vite une auberge espagnole où l’on trouve de tout et son contraire, séparés par quelques centaines de lignes parfois le long des 6 219 versets qui le composent. Le commerçant et dirigeant politique pressé étant passablement bordélique, les versions différentes d’un même texte s’accumulent, et ses successeurs vont inverser l’ordre de pas mal de versets. « Leur première compil » comme me l’avait dit un élève facétieux sortira en premier deux ans après sa mort. Ce qui explique aujourd’hui ces franges extrémistes qui ne vont s’appuyer que sur à peine 10 % du corpus laissé, et ne pas utiliser le livre du prophète dans sa globalité. En résumé, le Coran est un tel bazar qu’on y trouve ce que l’on veut. Si l’on souhaite être un guerrier, on ne prend que les chapitres du chef de tribu expliquant comment rester chef de tribu : en attaquant les autres militairement. Si on souhaite un chapitre social, on prend les sourates sur l’entraide aux plus pauvres, une arme de politique clientéliste utilisée par Mahomet pour garder le pouvoir dans les tribus conquises. En résumé, il faut se méfier des guerres et des bons sentiments, dans le Coran, qui, ailleurs, donne des règles de vie précises et plutôt efficaces, la pratique du jeûne étant à l’époque un des moyens médicaux les plus utilisés pour se débarrasser des toxines accumulées par une vie dissolue. Le Coran a beau se vouloir un texte révélé, il contient beaucoup d’humain, avec tout ce que cela importe d’erreurs et de contradictions. Aujourd’hui, ce caractère devient une tare, car la vie d’il y a quatorze siècles n’est plus la même loin s’en faut. Les textes abordant tous les côtés de la vie de cette époque, bien rigides, sont particulièrement inadaptés au XXIe siècle. Décrété parfait et « inimitable » dans le dogme religieux islamique, le Coran est figé à jamais. C’est son handicap principal au XXIe siècle. Mais la religion chrétienne, qui n’a pas su saisir la chance de Vatican II, n’est pas mieux lotie question décalage avec la vie séculière. Et les sectes comme les raëliens de Vorilhon ne sont pas en reste, question fondements religieux similaires : prophète à la vie dissolue, récupération des religions précédentes (les Elohims hébreux), signes cabalistiques (la croix gammée inversée) culte contraignant, etc.
quand vous cesserez de m’assaillir avec la MEME QUESTION à laquelle je réponds par la même réponse, ça ira mieux : pour l’instant j’en ai ma claque de vos façons de faire ici et de votre duo avec la Comique : ma claque
en moins d"un mois ça fait TROIS fois que vous agissez ainsi, et TROIS fois que je vous ai répondu la même chose : VOTRE TROLLISME ICI ça suffit !
venir défendre les juifs en ayant pris un pseudo du grand père d’Hitler est ici une SALOPERIE SANS NOM, j’espère bien qu’un jour vos compatriotes vous JUGERONT pour avoir osé faire cette saloperie !