gordon71
« comment donner une place...éducatif ».
Pourquoi cette viscérale envie de s’incruster dans l’institution de l’éducation nationale et nulle part ailleurs, c’est ce que j’aimerais que vous m’expliquiez ?
Est-ce que votre femme (ou votre conjoint) a une envie viscérale de prendre part à la vie de l’entreprise dans laquelle vous travaillez 8 heures (ou peut-être davantage) par jour ?
Est-ce que le père ou la mère que vous êtes a une viscérale envie de participer à la vie de la commune (il faudrait alors que chacun soit adjoint au maire de sa commune....).
Si je pense que l éducation est l’affaire des parents et de personne d’autre, l’instruction est obligatoire, mais pas l’école.
Or l’école est une chasse gardée tout comme toutes les autres institutions aussi.
Essayez un peu d’accéder aux postes supérieurs des entreprises privées ou publiques et vous commencerez à comprendre où se situe le problème.
La solution au problème est la souveraineté.Tout simplement.Et tant que cela ne sera pas l’objectif commun au niveau social , l’éducation nationale restera le grand corps malade qu’il est , tout comme l’est notre société.
Nous avons l’internet qui est un merveilleux outil.Il peut servir de cadre pour instruire, débattre, échanger et informer.
Et cela est valable à tous les niveaux.Je suis pour la fin des partis (pris) qui ne sont que des instruments servant à diviser les uns et les autres.
C’est là qu’on est confronté au fait que nous sommes arrivés au bout d’une logique qui est celle qui dirige nos sociétés occidentales : la compétitivité, l’âppat du gain, le mépris pour ce qui sort du cadre fixé par des lobbies sans âme .C’est tout simplement la négation de l’individualité.
Tous ceux qui veulent sortir de se cadre réducteur (les élèves qui vont à l’école à reculons...et de plus en plus les professeurs aussi, à mon humble avis...si l’on en croît les arrêts pour dépression) sont estampillés comme « faibles », « fragiles », « inadaptés », « élèves à problèmes », « incasables » ou pire (je l’ai déjà entendu !!!!) « déchets ».
Mais ces élèves deviennent des adultes et le cercle vicieux du catalogage reprend : « asociaux », « fainéants », « losers » et autres adjectifs exotiques.
Alors il faut savoir tout simplement dans quelle société on veut vivre et comment il faut la préparer.Et pour cela on n’a pas besoin d’éducation nationale.
On a besoin de coeur.