CENSEUR vedette d’agoravox, tout en se posant en infatigable pourfendeur du nazisme (cherchez l’erreur), il en est aujourd’hui à sa 297° mise à mort de demandes de publications….
pour la 3eme fois : ce sont des PROPOSITIONS, un AVIS, qui est VOTE par des contributeurs, et je risque pas de mettre en cause SEUL la sortie de ces textes.
Hier j’ai voté CONTRE un texte idiot, proposé par quelqu« un qui a passé plus de 10 ans dans un canard antisémite, et qui a proposé un hoax, ressorti du chapeau par un journaliste débile.
En effet, il « vote » LA CENSURE « dans la masse » en se planquant sans aucune honte derrière « les autres », donc il agit dans un « process démocratique ».
aucunement : je DIS à chaque fois ici ¨POURQUOI je demande la suppression : comme lorsqu’on vient à 2 H30 du matin balancer de la musique nazie en me la dédicaçant....
Ce n’est pas sans rappeler les « tricoteuses de la place de la révolution »….
qu’est ce que ça vient foutre là ?
C’est un MYTHE COMPLET et TARDIF :
Avant de tenter de saisir par quel cheminement la tricoteuse et son tricot ont insensiblement glissé des tribunes des clubs ou de la Convention au pied de l’échafaud, une remarque s’impose. I1 est indéniable que de nombreuses femmes travaillaient tout en écoutant les orateurs révolutionnaires. Dans le mémoire écrit en faveur d’une femme de ménage arrêtée en prairial an III comme »jacobine« , on lit que l’on ne peut certes pas »dissimuler qu’elle assistait souvent aux séances des Jacobins« , mais que »elle y allait principalement par économie pour pouvoir travailler sans brûler de bois et de lumière chez elle« (17) !. Mais, d’après les documents précisant l’occupation de ces »tricoteuses« , elles ne tricotent pas, elles cousent ! Ainsi, les citoyennes Despavaux et Lance, deux ouvrières en linge militantes assidues des séances des Jacobins, y emmènent leur ouvrage de couture. D’autres font de la charpie pour les soldats (18). Nous n’avons jamais trouvé de référence à un ouvrage de tricot : ce qui, bien entendu, ne signifie pas qu’aucune »tricoteuse« ne tricotait, mais que ce n’était peut être pas leur occupation la plus courante. La gouache des frères Lesueur nous montre bien des femmes tricotant : rappelons simplement qu’elle est postérieure à l’an II, peinte alors que, justement, le surnom »tricoteuse« commence à se répandre.
Alors, pourquoi ce mythe ? Pourquoi l’expression »tricoteuse« a t elle finalement relégué dans les oubliettes de l’histoire les autres termes servant à désigner les femmes révolutionnaires ? On ne trouve plus, ni chez les historiens, ni dans les dictionnaires actuels trace de l’expression »furies de guillotine", pourtant beaucoup plus usitée pendant la Révolution et à première vue beaucoup plus expressive. Comment un geste aussi anodin, aussi paisible, aussi féminin même que celui de tricoter a t il été investi d’une telle charge de férocité repoussante ?