« conserveriez-vous le même médecin s’il vous disait qu’il ne sait pas ? »
Mais ILS ne savent pas... toujours. toutefois les généralistes et les spécialistes n’ont pas la même approche. Le bon généraliste SAIT rapatrier vers le spécialiste, donc...
Pour le spécialiste, c’est plus grave. En effet c’est ce j’ai vécu, donc... j’ai du ruser autrement, rechercher moi même une solution et essayer d’en discuter en ayant l’air de rien pour ne pas froisser leur susceptibilité. toutefois, avec la réduction drastique des prescriptions c’est resté quand même un problème.
Je n’ai pas eu de toute façon à changer de médecin, mais je suppose que la question doit se poser quand ce dernier est manifestement incompétent. Je ne fais plus confiance en leur diagnostique et je préfère vérifier et m’impliquer dans le traitement. Mais même ça ne fait pas tout vu que la médecine est limitée parfois dans les possibilités : et dans mon cas... ils font ce qu’ils peuvent aussi, soit pas grand-chose.
"ils se comportent
comme s’ils avaient également le pouvoir de guérir nos maladies.«
la formulation est pas exactement ce que j’en aurait dit... si votre idée est : »ils se comportent
comme s’ils pouvaient guérir nos maladies«
je dirais :
»ils se comportent
comme s’ils savaient guérir nos maladies" (en bon sachant).
Or, bien entendu, ils peuvent se tromper. Ils n’ont pas le pouvoir de guérir, mais le savoir de guérir. Enfin ils le pensent. mais ils font que ce qu’ils peuvent en fait dans la pratique. mais ça curieusement il ne le savent pas toujours... d’où une surévaluation de leur propre compétence qui conduit à une erreur de diagnostique (ils sont persuadés de savoir).
Les meilleurs sont ceux qui reconnaissent faire ce qu’ils peuvent... et donc sont conscients de leurs limites, de toutes leurs limites...