Ah !
"J’ai du mal à comprendre l’énorme moinssage sans arguments contraires sur ce commentaire alors que je le trouve plutôt sensé... Désolé pour vous Robert Gil, vous avez dû tomber sur un groupe de fan de Mr Soral.« 

Voyons... :
 »Soral est un facho doublé d’un conspirationniste.« 
Ca c’est la première phrase. Soral est vilain. Notons que ni »facho« ni »conspirationniste« ne sont doté de quelque sens que ce soit aujourd’hui, ce sont des coquilles vides, des coquilles sémantiques vides ( »crédibilité« en est une autre), des taches lumineuses en couleurs qui remuent avec du son. Remugles, odeurs, impressions de gouvernances. Vilain Soral.

 »Et je ne vois rien d’interressant a debattre avec lui.« 
Ca c’est la deuxième phrase !!! L’absence d’explication sur la première, que le lecteur rationnel attends, qu’il attend toujours, ne fait que renforcer ce que j’en dis ci-dessus. Je ne discute pas avec des remugles moi monsieur ! , nous apprend tout fier Gil qui fait la roue. Qui plus est avec des remugles nauséabonds qui mangent les petits enfants.

 »Ce qu’il a besoin, c’est d’admirateurs, c’est une sorte de gourou qui a le culte de la personnalité et..« 
Un remugle affamé de chair fraiche, je vous le dis ! Pénétrante analyse de Robert Gil, qui de l’âme et de la psyché d’Alain Soral, a déjà tout compris. Je suppose qu’il survole son intelligence de la même altitude...

Pour finir par dire qui son public est fait de paumés, et que le rédacteur de cet article qui écrit qu’A.S. »continue de pourfendre le système« , doit être un paumé lui aussi. Un »perdu."

Voilà, le genre de commentaire ’crédible de la gouvernance’, qui ne dit rien mais qui bave beaucoup, célèbre le confort des renoncements cérébraux.
Évidemment qu’il est moinssé en masse, on n’est pas au soviet de rédaction du Point.