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Commentaire de Mais dans quel monde vit-on ?

sur La France et ses musulmans


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Mais dans quel monde vit-on ? 23 février 2012 15:33

« Un abattoir, c’est un endroit où on abat des animaux. Il est impossible de faire cela sans aucune brutalité, par définition. »

Ca n’exclut pas la « propreté ». Pour avoir tué des lapins et des poules en grandes quantités, je sais que la mort peut-être instantanée. De même lorsqu’une bête est tuée après anesthésie.

« ... mais il reste à démontrer à mes yeux que l’abattage rituel soit réellement plus traumatisant pour les animaux que l’abattage conventionnel. »

Dans un cas comme celui-là, l’absence d’imagination doit considérablement aider et si on lui ajoute la négation de l’instinct de conservation, on doit pouvoir se rassurer pleinement pour le restant de son existence.

« Et finalement, quand des gens d’extrême-droite, Le Pen en tête, viennent raconter que d’un seul coup, ils ont découvert la souffrance animale, je dis FAUX-CULS !!!!!! »

Vous dites ce que vous voulez, une liberté de pensée pleine et entière s’applique face à des Blancs de confession chrétienne, vous auriez donc tort de vous priver.

Il reste que l’immense mérite de Marine Le Pen est d’avoir imposé le débat sur la place publique, d’avoir fait émerger l’ampleur du phénomène, ce que les associations de défense des animaux essayaient en vain de faire depuis des années.

« L’abatteur ou le boucher, peut-être, mais ça, c’est lui que ça regarde, pas moi ! »

Ben voyons, l’abatteur ou le boucher, ils prennent ça à leur charge, ils ne répercutent pas. La taxe peut aller jusqu’à 45 cts d’euro, et l’abatteur ou le boucher l’assument. Parce qu’ils ne veulent pas que leurs clients mécréants financent l’Islam à l’insu de leur plein gré ? Ou par islamophilie ?

* Les « petits » 2 % de l’Ile-France représentent déjà 5’000’000 de kilos de viande, donc des dizaines de milliers d’animaux, et on parle par ailleurs d’un tiers des abattages exécutés en mode rituel, pour l’ensemble de la France. On apprend aussi que des éleveurs respectueux de leur bétail doivent faire chaque année des centaines de kilomètres pour conduire leurs animaux dans des abattoirs où ils seront tués proprement.


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